Madame de Marans - Histoires de Sexe

Madame de Marans

... actes d’amour lesbien : celle-ci caresse le bout des seins de sa compagne, qui lui caresse le sexe, ces deux autres sont occupées à un délicieux tête-bêche, et là, deux femmes en branlent une troisième pendant qu’une quatrième, les cuisses écartées au-dessus de son visage, se fait lécher la fente. Il y a une foule de détails plaisants que je ne me lasse pas de regarder. Tenez, par exemple, voyez ces bijoux orientaux qui couronnent les tétons de cette blonde. N’est-ce pas intéressant ? Quant au troisième tableau, le plus grand, il représente une scène d’orgie à Rome. Ce qui est intéressant, c’est que le peintre a pris pour modèles certaines personnes de la Cour. Tiens par exemple, Élodie, tu connais bien le Compte de Rocroy ! Eh bien, le voici en train de sodomiser la superbe Mademoiselle de Gisère, qui elle-même lèche le sexe de son amie, la jeune comtesse de Valençon.— Et là, cette femme qui se masturbe en suçant ce gros phallus, on dirait que c’est vous !— Bien sûr c’est moi, Élodie ! Tu penses bien que le peintre m’a fait figurer sur la toile que je lui ai commandé, dans un des actes que je préfère.— Est-ce que ma maîtresse figure aussi dans le tableau ?— Oui, mais à l’époque -le tableau a été peint il y a plus de cinq ans déjà- elle avait préféré qu’on ne voie pas son visage. Mais ce joli petit cul aux fesses musclées, sur lequel ces trois hommes répandent leur semence, tu le reconnais, non ?— On le reconnaîtrait entre mille ! La découverte de ces tableaux a mis Caroline ...

... dans un état second. Jamais elle n’aurait imaginé que de telles peintures pouvaient exister. Elle a déjà vu des nus féminins, qui ont toujours suscité chez elle une certaine émotion, mais ici les artistes ont représenté toutes sortes d’actes sexuels sans aucune censure, et avec moult détails. Elle est très excitée, le rouge lui est monté aux joues, elle a très chaud et sa respiration s’est accélérée. Sous ses jupes, son sexe dégouline déjà le long de ses cuisses. Madame de Marans la tient toujours par la main, et Caroline ne se rend même pas compte qu’elle presse cette main avec trop de passion. L’excitation de sa maîtresse n’a pas échappé à Élodie, qui s’approche d’elle et lui pose une main dans le dos. — Je vois avec plaisir que ces images ne sont pas sans vous faire d’effet. Oh, rien de bien anormal à cela. Peu de personnes peuvent résister à leur charme. Vous ne semblez pas faire partie de ces jeunes filles prudes et timorées auxquelles on a inculqué depuis le plus jeune âge l’horreur pour tout ce qui touche au sexe. Dites-moi, quelle scène a votre préférence ?— Je ne sais pas, c’est difficile… ces tableaux sont extraordinaires. D’une telle précision. Tellement explicites ! Vraiment, cela me met dans le plus grand trouble. D’autant plus que l’on y voit beaucoup de scènes entre femmes, ce qui… est de loin ce qui m’intrigue le plus…— Bien que je les aie contemplés si souvent, ils continuent encore aujourd’hui à me procurer de grands émois aussi. Pour ma part, outre la scène ...