1. Souvenirs d'un timide (2ème partie : Sylviane)


    Datte: 10/04/2018, Catégories: fh, Collègues / Travail gros(ses), grosseins, groscul, poilu(e)s, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme odeurs, Oral 69, pénétratio, fdanus, hdanus, uro,

    Suite à mon aventure ratée avec Christelle que je vous ai relaté dans le premier opus de cette série (N°8924) je m’étais promis de ne plus jamais passer à côté d’une expérience à cause de ma timidité ou de mon inertie. L’occasion s’est présentée incidemment. Dernièrement Béatrice, une de mes collègues, s’est arrêtée pour bénéficier d’un congé de maternité. Elle a été remplacée par Sylviane. Contrairement aux remplaçants habituels qui débutent souvent dans le métier, Sylviane est une femme mûre, la quarantaine bien tassée. Pourtant Sylviane est une femme charmante, elle a la peau mate et les cheveux longs ondulés d’un noir profond, héritage d’une grand-mère aux origines tahitiennes. Plutôt de petite taille elle a l’opulence de sa maturité. Sa poitrine est lourde sans excès, sa taille est fine mais surtout son gros cul rebondi est un appel quasi permanent au viol. La bonne aubaine, me dis-je, Sylviane est célibataire, plutôt décidée, sans complexe, et surtout elle assume son corps et ses rondeurs. « Celui à qui je ne plais pas, n’est pas obligé de rester, j’aime mon corps et j’aime le plaisir qu’il me donne » Affirme t-elle à qui veut l’entendre. Le programme paraît alléchant, mais je ne peux quand même pas lui sauter dessus au milieu de la salle des profs ! Il me reste un minimum de vernis de civilisation. C’est bizarre, autant avec Christelle la tendresse s’était installée rapidement et cela nous a suffit longtemps, trop longtemps, autant avec Sylviane je sens que je n’ai ...
    ... rien à attendre d’elle comme sentiments en retour, juste de la baise pure et dure, du plaisir et rien d’autre. Cet état de fait est nouveau pour moi, jusqu’à présent je n’avais envisagé de faire l’amour avec une femme que si un minimum de sentiments nous liaient, c’est mon côté fleur bleue. Ici rien de tout cela, Sylviane n’éprouve rien pour moi, je suis juste un sexe éventuellement capable de lui donner du plaisir. C’est dur pour mon ego de mâle, je pensais que cette façon d’être était l’apanage des hommes. D’un autre côté cela simplifie les choses pour moi, c’est Sylviane qui va prendre les devants, passant au-dessus de ma timidité maladive vis-à-vis des choses du sexe. Cela fait à peine dix jours qu’elle est arrivée qu’elle me demande : — Que fais–tu mercredi, si tu es libre tu pourrais venir chez moi pour m’aider à déménager mon congélateur ?— Heu… !— Tu viens vers 9h.— Heu…, oui si tu veux. » Ouh la la, dans quelle galère me suis-je lancé, pensais-je immédiatement. Il va falloir que j’explique cela à ma femme. J’essaie de me raisonner, je vais juste l’aider à bouger un meuble, il n’y a rien de répréhensible la dedans. On peut s’entraider entre collègues, c’est le minimum. Oui, Nathalie va comprendre qu’il n’y a rien de plus, franchement: déplacer un congélateur ce n’est pas un crime ! Je vais donc pouvoir expliquer cela tranquillement à Nathalie. Pourtant, au fur et à mesure que la journée se passe, je deviens de plus en plus nerveux, de plus en plus impatient d’être à ...
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