1. Souvenirs d'un timide (2ème partie : Sylviane)


    Datte: 10/04/2018, Catégories: fh, Collègues / Travail gros(ses), grosseins, groscul, poilu(e)s, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme odeurs, Oral 69, pénétratio, fdanus, hdanus, uro,

    ... réveille brusquement, j’approche mon visage de son sexe béant écarte le string et je hume son arôme. Cette odeur à la fois suave et âcre me fait chavirer, je ne peux réprimer quelques coups de langue le long de sa fente embourbée de ses abondantes sécrétions. Je me redresse, la saisis par ses hanches généreuses, et l’empale d’un seul coup de toute la longueur de mon chibre. Quelles sensations ! Le vagin de Sylviane est tout à la fois chaud, humide, moelleux, tendre et serré. J’hésite quelques secondes, pour que chaque terminaison nerveuse s’imprègne de ce bonheur, mais déjà Sylviane s’impatiente et remue son gros popotin. Je lui emboîte le rythme et commence à lui pilonner sa craquette. Mes mouvements sont amples, et j’alterne la pénétration profonde et le retrait presque total en ne gardant que le gland à l’entrée de son vagin. Cela me permet, lors de chaque retrait de voir palpiter nerveusement l’œillet sombre de Sylviane. Mes mains quittent à regret ses hanches souples pour des contrées plus vallonnées et attraper ses gros seins qui ballottent sous elle. C’en est trop pour moi, mon sperme se précipite hors de mes testicules pour venir inonder son vagin si accueillant. J’ai pris mon pied, mais je ne me suis pas occupé de la jouissance Sylviane. Elle se rappelle à moi en m’éjectant de son vagin ...
    ... dans un bruit de succion des plus érotique. Je me laisse glisser derrière elle et pour me faire pardonner, commence à lui sucer le clitoris. Le mélange sperme-sécrétions et l’échauffement lui parfume la moule de manière agréable, bien que très épicée. J’adore ce mélange de goûts. Apparemment Sylviane est chaude, son arrière train bat le tempo de mes léchouilles. Je lui titille le clito tout en alternant des léchouilles de haut en bas de son sexe, elle est proche du paroxysme d’après ses cris. Soudain elle s’assied sur ma tête, ses cuisses m’emprisonnent, elle tremble de partout, et alors que je poursuis mon léchage jusqu’au bout de son orgasme, elle hurle sa joie et me fait suffoquer en vidant sa vessie au visage. Elle a apprécié et retenu la leçon. Nous étions repus de sexe, et il a fallu faire un gros effort pour ne pas s’endormir. Après une douche rapide, propice à de petits attouchements nous nous sommes quittés avec un petit bisou tendre. Pendant les trois mois qu’a duré le remplacement de Sylviane, nous nous sommes comportés comme de vieux amis, sans jamais faire la moindre allusion à ce qui s’était passé entre nous ce fameux mercredi. Sylviane est partie vers d’autres cieux, je ne l’ai pas revue depuis, mais elle m’a affranchi de ma timidité et permis d’envisager d’autres expériences. Rubens. 
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