Souvenirs d'un timide (2ème partie : Sylviane)
Datte: 10/04/2018,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
gros(ses),
grosseins,
groscul,
poilu(e)s,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
odeurs,
Oral
69,
pénétratio,
fdanus,
hdanus,
uro,
... qui perlent sur ses doigts en me regardant fixement dans les yeux. J’aime quand elle est comme cela. Elle m’amène mon verre, puis s’installe dans le fauteuil d’en face, avec le sien. D’un geste souple, elle quitte ses escarpins pour replier ses jambes sous elle dans le fauteuil. — À nos amours. Dit elle en levant son verre.— À nos amours. Répondis-je. Puis nous avons lentement siroté notre Vodka sans échanger une parole, mais sans nous quitter un instant des yeux. Nous nous sommes dévorés l’un l’autre, pour apprendre par cœur le contour de chaque expression, de chaque ride, de chaque rondeur. La moindre imperfection se transforme en la plus belle perle qui rend toutes les autres êtres insignifiants de ne pas la posséder. Le silence nous réunit mieux que n’importe quel artifice, il nous prépare à notre rencontre qui maintenant semble inéluctable. Sylviane se lève, remet ses escarpins, et je crois que tout bascule quand je la voie prendre la direction de la cuisine, mais elle est rapidement revenue avec des verres pleins de Vodka. Mon cœur peut recommencer à battre, elle ne m’abandonne pas. Nous buvons notre second verre de la même façon que le premier, en silence. L’atmosphère devient de plus en plus électrique, l’alcool aidant, mais surtout la suite devenant maintenant une certitude, il ne manque que l’étincelle pour allumer la mèche. Une fois encore, c’est Sylviane qui l’allume, en se retournant, elle accroche sa jupe au bras du fauteuil, la faisant remonter très haut sur ...
... ses cuisses, ce qui me permet de découvrir qu’elle porte en réalité une paire de bas soutenue par un porte jarretelles rouge carmin assorti à son soutien-gorge. A ce moment, comme si j’étais un étranger à l’extérieur de moi, je m’entends demander : — Il est joli ton porte jarretelles, ton slip est assorti ?— Tu veux vérifier ? Me répond elle. J’avale d’un trait le contenu de mon verre avant de répondre — Oui, je veux bien. Elle aussi vide son verre et en me regardant fixement elle me dit: — Si tu me veux, tu dois être mon maître, je ne ferais rien que tu ne m’ordonnes, j’obéirai à chacun de tes ordres pourvu qu’il n’y ait pas de violence. Tu vas devoir prendre sur toi, vaincre ta timidité, mais c’est le prix à payer, si tu réussis notre jouissance sera totale, sinon dommage, tu seras passé à côté d’un bon coup que tu ne retrouveras pas de sitôt. » Je reste abasourdi, comment, en si peu de temps a-t-elle pu me percer à jour aussi efficacement ? Mais je ne veux pas passer à côté de Sylviane comme je l’ai fait avec Cristelle. Aussi, je m’entends lui dire timidement : — Lève-toi, soulève lentement ta jupe et montre moi ton slip. » J’attends anxieusement le résultat, quand Sylviane se redresse faisant gonfler son opulente poitrine à en faire craquer les boutons de son chemisier, puis lentement se saisit du bas de sa jupe et lentement, très lentement, la remonte. Le temps semble s’être arrêter pour moi, je bande à m’en faire mal, je suis mal à l’aise dans mon pantalon. Bientôt la ...