Souvenirs d'un timide (2ème partie : Sylviane)
Datte: 10/04/2018,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
gros(ses),
grosseins,
groscul,
poilu(e)s,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
odeurs,
Oral
69,
pénétratio,
fdanus,
hdanus,
uro,
... odeur de femelle en rut de plus en plus forte, son bassin vient cogner contre mon bas ventre, avec des ahanements de bûcheron, elle tente de faire pénétrer mon pénis dans son vagin mais le string l’en empêche, elle ne peut que faire glisser sa moule tout le long de mon sexe tendu à chacun de ses soubresauts. Encore un tiraillement de ses tétons et je l’entends hurler sa jouissance à tout va. J’espère que les murs sont épais, sinon tout le voisinage va l’entendre chanter sa jouissance ! Elle m’écarte alors vivement les mains de ses seins aux tétons érigés d’au moins deux centimètres. — Stop ! N’y touche plus, il sont hypersensibles maintenant. »Me souffle-t-elle d’un ton qui ne laisse aucune place à la contradiction. Sylviane est maintenant complètement amorphe, plus aucun de ses muscles ne possède la moindre once de vitalité, ses jambes qui enserraient mon bassin retombent mollement, les traits de son visage sont totalement détendus, seuls ses bras me maintiennent plaqué contre elle. Sa petite mort dure quelques minutes, ou une dizaine de minutes, je ne saurai dire tant je suis bien au contact de cet opulent corps moelleux et éminemment érotique. De temps à autre, nous échangeons un petit bécot, histoire de nous rappeler que nous existons et de ne pas s’endormir. Les yeux de Sylviane expriment une lueur de contentement comme je ne leurs avais jamais connu auparavant. — Tu viens de me faire jouir deux fois comme personne ne l’avait fait. Je t’aime. Non excuse-moi, j’aime ...
... ta façon de faire chanter mon corps et de l’amener à une jouissance sublime et inconnue de moi jusqu’à présent Me dit-elle doucement avant de me rouler un patin digne des annales du cinéma. Et toi ? Je sens ton bâton de chair rouler sur mon ventre, prends-moi comme tu le veux, je suis ton esclave sexuelle. » Moi, je ne sais plus, j’ai envie d’elle c’est certain, pour le reste je suis obligé de faire un tremblement de terre dans mon cerveau car comme d’habitude, j’hésite. La tendresse que j’éprouve pour Sylviane à ce moment m’inciterait à la prendre simplement et profondément en position du missionnaire, l’avantage de cette position est de me permettre de garder un contact maximum avec son corps et surtout sa fabuleuse poitrine. D’un autre côté cette position n’est pas la plus érotique, la levrette permet de la prendre de manière plus animale, et surtout elle me permettra d’admirer son gros cul de salope encadré par son porte jarretelles et de voir ses gros seins ballotter à chaque pénétration. Mon côté voyeur l’emporte, et cette fois c’est moi qui prends la décision : — Mets toi à quatre pattes. » Sylviane obtempère et ce qu’elle me présente dépasse largement mes espérances les plus folles. Oh putain ce gros cul, mis en valeur par son porte jarretelles et ses bas fins. Et surtout la ficelle de son mini string qui sépare en deux son énorme buisson noir au centre duquel apparaît telle une blessure, l’excroissance de ses petites lèvres rouge carmin. L’animal qui est en moi se ...