Tommy (2)
Datte: 10/04/2018,
Catégories:
Zoophilie,
Ainsi, mon frère avait maté pendant que je me faisais monter par son clebs. Je regardai la cam, assez en colère. "Putain Nico, si tu mates encore, t’es un dégueulasse. C’est vraiment pas cool". Je débranchais la cam et me rhabillais pour rentrer chez moi, assez énervée. Avant que j’ai eu le temps de partir, mon frère m’avait rejoint. "Tu nous as maté hein" ? "Oui, putain, c’était trop bon". "T’es vraiment un salaud". "Eh, c’est pas moi qui me fait mettre par un chien" ! Je lui balançais une gifle. "Et les autres nanas, c’est pas toi qui les amènes peut -être "? "Si tu ne voulais pas que je te regarde, fallait pas mettre des photos et me dire que tu avais découvert mon secret". Il avait marqué un point. Je lui dis : "Tu aurais au moins pu me demander ou me prévenir". "Tu voulais pas non plus que j’assiste comme avec les filles que je fais venir" ? "A la limite, j’aurais vraiment préféré". "On peut le faire la prochaine fois et je prendrai des photos". En guise de réponse je lui fis un doigt d’honneur et je rentrai chez moi. Assez fâchée et humiliée, je ne mis pas les pieds chez mon frère pendant plusieurs jours. Mais le chien me manquait. Au bout d’une semaine, n’y tenant plus, j’envoyais un sms. "Est-ce que tu peux me prêter Tommy ce soir"? Réponse "Je pourrai mater et prendre des photos?". "Non !". "Alors, je préfère que tu ne t’occupes plus de mon chien". "Sérieux? ". "Oui, je préfère le garder pour les filles qui aiment ". La vengeance était claire et, connaissant mon ...
... frère il allait me faire patienter longtemps avant que je ne puisse me retaper un orgasme canin. Je cédais. "Ok. J’arrive". Sans réfléchir, je me mis à poil et me jetai contre le chien qui triquait déjà à fond. Je le laissai me lécher les seins et la chatte, puis je lui pompai le dard si dur et si sec. Enfin, après ces heureuses retrouvailles je me mis à quatre pattes pour qu’il me prît en levrette. Habitués maintenant l’un à l’autre, il trouva ma fente du premier coup. Je le fis entrer jusqu’au knot mais pas au delà pour pouvoir le libérer et me coller contre son sexe ou le prendre dans ma bouche au moment où il lâcherait tout. Nicolas s’était mis à poil. Il bandait comme un âne. C’était la première fois que je voyais sa tige et, honnêtement, tel maître tel chien. Il est remarquablement monté. Il prenait les photos. Il me dit "Putain, si tu n’était pas ma sœur, je te la foutrais encore plus profond que le chien". "Tu le fais aux autres filles"? Il m’expliqua qu’en fait, il attirait les filles, les baisait et, quand elles étaient proches de l’orgasme, il faisait entrer le chien. Alors, il se faisait sucer pour libérer la chatte vers laquelle le chien précipitait aussitôt sa longue langue rappeuse et baveuse. La plupart des filles reculaient d’abord. Mais Nicolas leur disait au moins de se laisser faire un peu. De toute manière, comme il était à genoux au dessus d’elles, elle ne pouvaient pas trop bouger. Il ne fallait généralement que quelques coups de langues pour qu’elles ...