1. Tommy (2)


    Datte: 10/04/2018, Catégories: Zoophilie,

    ... s’agit par petites secousses régulières et très vives. La vieille, appuyée sur ses coudes, la croupe en l’air hurlait de bonheur. Nicolas, habillé pour cette fois, filmait. Tommy dut attendre quelques minutes pour pouvoir se dégager de la vielle croupe. Quand il le put, son sexe était encore assez dur et un long fil de sperme dégoulinait de son bout rouge et trempait le matelas. J’eus évidemment envie d’aller sucer le tout mais la rombière fut plus rapide. Elle goba le sexe avant qu’il ne se rétracte tout à fait. Tommy y était accoutumé et se laissa faire. Avant de partir, la charmante vieille dame nous fit une proposition. Il s’agissait d’inscrire Tommy à un concours de baise. Un jury examinerait les prouesses de quelques animaux avec leur compagne et le vainqueur emporterait la coquette somme de 5 000 €. Pour moi, il s’agissait de me faire grimper en public par le chien et j’hésitais franchement. Ce fut le chauffeur, Jacques, qui me rassura en me disant qu’il était le maître de cérémonie et qu’il saurait me maître à l’aise. Du reste, l’éclairage sur le baisodrome était sensé être fait pour que le public pût nous voir plus que l’inverse. C’est à peine si j’apercevrais les mollets des spectateurs du premier rang car, outre le jury, il y avait des mateurs. Selon les soirées, une par an, le public variait, m’assurait-on entre 20 et 30 personnes. Les mensurations et le savoir-faire de Tommy pouvaient nous laisser prétendre au podium. J’acceptais. La prochaine session de "baise ...
    ... avec mon chien" devait avoir lieu dans quatre mois. Quatre mois après, un samedi après-midi, nous faisions notre entrée dans un château qui avait dû servir de pensionnat. On nous attribua une chambre très vaste. Nous étions le quatrième couple à passer. Selon le temps de coït des chiens, ce serait vers vingt heures. On viendrait nous chercher. D’ici là, nous ne devions pas sortir de notre chambre. Une fois notre prestation achevée, nous aurions le droit de nous joindre aux autres spectateurs après avoir amené Tommy dans notre chambre. On vint nous chercher à l’heure dite. Je m’étais déshabillée dans une pièce à l’écart pour ne pas exciter prématurément le chien. Nicolas vint me chercher. Il était entièrement nu aussi, portant juste un harnais. A ma vue, Tommy se mit immédiatement à bander. Nous descendîmes un long couloir qui desservait plusieurs pièces puis qui se rétrécissait pour accéder à ce qui avait dû être un gymnase. Nous attendîmes derrière un rideau noir. Jacques vint nous chercher. Il était entièrement à poil à l’exception d’une veste queue de pie un peu trop étroite qui faisait ressortir son énorme ventre rond et ferme et l’énorme paquet bandant mou qui pendait en dessous. Décalotté, le gland violacé était humide à son extrémité. Après nous avoir accueilli et complimenté, il disparut derrière le rideau et annonça : "Mesdames et messieurs, je vous demande de réserver votre meilleur accueil au chien Tommy, à sa chienne Jessica et à leur dresseur Nicolas". J’entrais, ...
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