Tommy (2)
Datte: 10/04/2018,
Catégories:
Zoophilie,
... suivant Tommy, sous les applaudissements et les commentaires salaces qui fusaient déjà. "Belle salope. Le chien a du pot. Belle bête, il va la faire couiner...". La scène, ressemblant à un vaste ring de boxe, était éclairée de telle sorte que je fus éblouie et que je ne pus distinguer que des ombres qui me parurent plus nombreuses cependant qu’une trentaine. Mais déjà Nicolas, avec un petit coup de fouet sur mes fesses conformément à ce que nous avions répété dans les semaines précédentes, me fit mettre sur le dos, jambes écartées ouvertes au maximum. Aussitôt Tommy se précipita langue baveuse et fébrile sur ma chatte toute offerte. La langue d’un chien est plus large, mais plus fine que celle d’un homme. Surtout, elle est beaucoup plus nerveuse, rappeuse et plus longue. Elle peut pénétrer très loin dans la chatte, surtout si le chien est grand ce qui est le cas de mon Tommy. Après les premiers coups donnés sur ma moule bien épilée, mes lèvres se gonflèrent dégageant le clitoris très excité. Je sentis la langue me rentrer dans le con et je ne fus pas longue à m’agiter et à me caresser les seins sous la vague chaude et humide qui me renversait de plaisir. Très vite je fus secouée d’un premier orgasme et je laissais libre cours à mes cris de plaisir et d’encouragement pour mon chien. Les applaudissements, les encouragements, les paroles obscènes déferlaient. Nous enchaînâmes les positions selon ce qui était convenu en prenant soin que Tommy ne se verrouille ni dans mon con ni ...
... dans mon cul. Alors que j’étais en levrette et que j’atteignais un second orgasme, des cris fusèrent depuis la salle. zmtzrrkc "Une double, une double..." Jacques prit la parole : "Mesdames, messieurs, la double est impossible car monsieur et madame son frère et sœur". Il fut répondu par un soupir collectif de déception et quelques cris : "Mais qu’il la fourre sa putain de sœur". Nicolas répondit : "Si vous le permettez, monsieur le maître de cérémonie peut prendre la place". La société applaudit à tout rompre et j’entendis des bruits divers : "Allez-y Jacques, bourrez-lui la chatte. Mettez-lui votre gros vit.... etc". Jacques se présenta donc à moi, la verge rubiconde en pleine ascension. Quelques coups de langue lui donnèrent une solide vigueur et la dureté du roc. Jacques s’allongea. Je chevauchai l’immense pieu et lorsque je fus bien installée, Nicolas fit monter Tommy sur ma croupe. Il guida l’immense Zob qui pissait ses petits jets dans mon trou. Cependant, comme j’enjambais Jacques, la position de mon cul n’était pas la même que d’habitude et Tommy avait du mal à me grimper et, a fortiori, à se verrouiller. Je décidai donc de me retourner. Je passai mes doigts dans le sperme dont le chien avait déjà aspergé mon sexe, mon cul et le matelas, car un chien éjacule pendant toute la durée de la baise. J’en enduis ma rondelle en me fourrant deux doigts dedans et je vins me ficher sur le gros zob de Jaques, en lui tournant le dos de façon à m’allonger sur lui et offrir mon con ...