Fées d'hiver
Datte: 11/04/2018,
Catégories:
fh,
extracon,
inconnu,
médical,
vacances,
Collègues / Travail
échange,
attache,
conte,
humour,
... bolide s’était écrasé à deux mètres de lui, qui avait poursuivi son chemin, paisible et chantonnant. Il en avait vu bien d’autres et rêvait d’un voyage au Québec ! Mais par la suite ? N’ouvrir la piste noire qu’aux candidats au suicide ? Equiper les cabines d’amour d’un haut-parleur diffusant quelque requiem de Wagner ? Car tout Wagner n’est à mes yeux, mes oreilles y étant rétives, qu’un tonitruant requiem. La question ne se pose plus, hélas, car le sénateur maire a préféré se passer de mes services. Il avait méprisé ma prose, j’en fus vexé, le ton monta. Le thon aussi, sa secrétaire, qui fit venir deux policiers municipaux, qui me livrèrent à deux infirmiers balèzes qui me jetèrent dans un fourgon qui me conduisit ici. D’emblée, j’y suisLe Prisonnier. Cherchant à m’évader, je salue tout un chacun d’un faussement cordial « Bonjour chez vous ! » Mais un méchant docteur n’est pas dupe, il m’enferme et m’entrave dans la toile rude d’une camisole de force. Au vrai, il me reproche surtout d’avoir courtisé son adjointe, jolie comme un coeur. Une lutte sourde s’engage entre nous. Il me fait boire ce produit de contrebande qu’on nomme bromure. Je deviens bénin, on me détache. J’abreuve alors les plantes vertes du gros rouge de mon verre et jette toutes leurs pilules. De flasque mon sexe redevient sceptre, le maréchal a retrouvé son bâton. En un tour de main, je me satisfais comme je peux, seul dans ma cellule, en songeant aux petites fées dont je suis douloureusement privé. Par ...
... bonheur, comme je parais tout à fait calme, l’odieux Cerbère qui me surveillait est remplacé par de jolies infirmières. Je les lutine, ces petites fées. Elles ne s’en plaignent pas, mais le méchant docteur nous surprend et revoilà la camisole ! Les filles, nues sous leur blouse blanche, voient bien que ma verge va finir par faire un trou dans cette foutue toile, tellement je les désire. Une mignonne fend enfin mon armure, avec ses dents ! Ensuite elle use de ses mains, de sa bouche et, sans me détacher, l’adorable perverse s’empale en disant que je suis sa divine momie. On finit par me détacher. Les fées entrouvrent pour moi leur blouse pour de langoureux blues préludant à de somptueux ébats dans la cellule capitonnée. Entre toutes, celle que je préfère est Véronique. Ses seins sont arrogants, ses fesses superbes. L’ensemble est sublime, noir sous sa blouse blanche. Ses lèvres sont roses, cependant. Roses aussi sa langue, ses tétons et ses secrètes ouvertures. Aucune ne m’est interdite. Depuis que je la connais, je bande en permanence. C’est ma divine afrodisiaque. Elle n’est pas jalouse, et me prête volontiers à ses collègues. Voici mon délicieux harem reconstitué ! Je nage dans le stupre, mon bonheur est absolu. Mais un jour le méchant docteur me surprend à jouer à lui avec Martine, son adjointe, la délicieuse rouquine. Fou de jalousie, il ordonne qu’on aille chercher la camisole. Mais toutes les gentilles fées viennent me prêter main forte, et c’est lui qui est entravé et jeté ...