1. Ma première fois avec Patricia


    Datte: 11/04/2018, Catégories: fh, fplusag, oncletante, forêt, volupté, noculotte, BDSM / Fétichisme Masturbation Oral yeuxbandés, init,

    Cette histoire s’est déroulée il y a quelques années. À l’époque, âgé seulement d’une vingtaine d’années, je sortais d’une relation de deux ans avec une fille. Je l’avais connu vierge, et plus jeune que moi, j’avais la lourde responsabilité de lui faire découvrir et apprendre le sexe alors que je n’en connaissais pas beaucoup plus. Au cours de notre éducation commune, je me découvrais sexuellement: doté d’un sexe dans la "moyenne nationale" niveau taille, l’érection ne me posait aucun problème, bien au contraire. Par contre, l’éjaculation m’était quasi-impossible. (et c’était identique pour mes rares partenaires auparavant). Nos rapports pouvaient durer une ou plusieurs heures, je n’arrivais jamais à éjaculer sans m’aider manuellement. Ce «don» s’est rapidement transformé en problème pour elle, persuadée que je ne prenais pas de plaisir malgré ses efforts acharnés. De mon côté, je m’amusais à dompter cette qualité pour multiplier ses jouissances : A défaut de prendre moi-même du plaisir, autant qu’elle en prenne pour deux. Nous multiplions les endroits (douche, chambre d’hôtel, à même le sol ou contre le mur, dans sa chambre mitoyenne à celle de ses parents ou en pleine nature), les occasions (elle devenait de plus en plus gourmande ce qui était loin de me déplaire), les positions et les pratiques. Hormis la sodomie qu’elle refusait vigoureusement, elle avait pris goût et s’appliquait à la fellation. De mon côté, j’analysais le moindre soupir et le moindre gémissement ...
    ... lors des cunnilingus ou des pénétrations, bien décidé à être l’amant parfait. A cette période, je travaillais en tant qu’intérim dans une entreprise de transports, un poste terriblement primaire et manuel, qui avait pour seul bénéfice outre le salaire, de me muscler à moindre frais, principalement les bras. D’un commun accord, nous avions donc rompu, officiellement pour des divergences d’opinion. (elle ne jurait que par l’argent et le luxe, n’avait aucun sens de la réalité. J’étais immature, réservé même auprès d’elle, etc, etc…) Cette séparation ne m’attristait pas ou peu bizarrement, plus soulagé que penaud. Dans les derniers mois, le sexe était notre unique occupation, le seul domaine où l’on s’entendait encore à merveille. A nouveau célibataire, je décidais de profiter pleinement de mon nouveau statut pour prendre quelques vacances. Deux ou trois semaines durement gagnées, j’hésitais sur la destination et la finalité. Pas dragueur pour un sou, je recherchais principalement la tranquillité, le calme et la nature pour réfléchir et décompresser de ces derniers évènements. Mes parents me proposèrent de passer quelques temps chez mon oncle Michel, le frère de mon père, qui demeurait au fin fond des Landes. Il s’était récemment mis en ménage avec Patricia, plus jeune que lui d’une dizaine d’années (j’apprendrais par la suite qu’elle venait de fêter ses 40 ans). J’avais eu l’occasion de la croiser lors des rares regroupements familiaux lorsque il nous l’avait présentée : Blonde, ...
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