Ma première fois avec Patricia
Datte: 11/04/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
oncletante,
forêt,
volupté,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Oral
yeuxbandés,
init,
... moi, mon boulot et ma petit vie, tout ceci sous les sourires et les remarques de Patricia. Vers 22 heures, je les quittais exténué, pris une douche et regagna ma chambre. Pour ce soir, je choisis une bande dessinée de mon oncle dans la bibliothèque, mais la fatigue eu raison de moi. Je tombais littéralement de sommeil, nu dans ces draps frais. Un sommeil profond, sans rêve ni pensée. Je fus réveillé délicatement par du bruit venant de la chambre. J’ouvris les yeux lentement, il faisait déjà jour à travers les volets, puis tournais la tête vers le bruit. Je ne m’attendais certainement pas à voir cela: Patricia, ma tante, en jupe courte, debout, un pied sur un carton, en train de remonter le long de sa jambe bronzée un bas noir. L’action semblait durer des heures tellement elle était sensuelle. Elle remontait toujours plus haut cette fine membrane de tissu, puis, arrivée à mi-cuisse, elle tira une dernière fois et s’attaqua à l’autre jambe. Comme la veille, l’érection fut instantanée et fulgurante. Couché sur le ventre, nu avec pour seul vêtement un fin drap, j’admirais cette quadragénaire en pleine séance d’habillage. J’étais aux premières loges, je n’en perdrais pas une miette. À peine terminé, elle enfila ses chaussures, referma le carton de vêtements, puis sortit de la chambre non sans me lancer un dernier regard. Je simulais le sommeil, mais je doute fort qu’elle soit si naïve. A peine la maison vide de ses occupants, je me précipitais sur le carton: à l’intérieur, une ...
... véritable caverne d’Ali Baba. Des sous-vêtements en pagaille, tous plus affriolants les uns que les autres. Strings noirs rouges blancs ou violets, en dentelle ou dans des matières inconnues; des choses minuscules qui ne devaient cacher que le minimum, sans parler des soutiens-gorge et des guêpières. Je pris le premier string que je trouvais, retournais dans mon lit non sans oublier un mouchoir en papier, et comme la veille, je me masturbais frénétiquement, cette fois-ci accompagné d’un string noir. Je me frottais le torse avec, le portait à mon visage. Je le léchais, le mordais, m’imaginant qu’elle le portait… La jouissance vient rapidement, et il fut difficile de me contrôler. Je n’avais absolument aucune idée de la suite des évènements. Je n’étais esclave que de mon désir et de cette femme, mature, qui était malgré tout la femme de mon oncle. Je décidais de passer une journée à bronzer et à profiter de la piscine, espérant que l’eau froide me calmerait. Je ne voyais mon oncle que le soir, à partir de 20 heures. Il était plutôt rustre et sauvage, même avec moi. Toutefois, il faisait quelques efforts niveau conversation. Il connaissait les forêts comme sa poche, et me conseillait quelques itinéraires à vélo. Quand à Patricia, je la voyais que trop peu à mon goût. Elle travaillait à mi-temps le matin dans un établissement hospitalier, ne revenait qu’aux alentours de midi, pour repartir ensuite se balader à vélo ou aller voir ses amies. J’étais souvent livré à moi-même, ce qui ...