Ma première fois avec Patricia
Datte: 11/04/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
oncletante,
forêt,
volupté,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Oral
yeuxbandés,
init,
... bronzée, une classe et un charme fou, je m’étais tout de suite bien entendu avec cette femme si naturelle et décontractée. Ma place de neveu et nos rares rencontres nous permettaient de nous charrier constamment, ravis de nous revoir. Physiquement, elle me dépassait d’une courte tête, avait des cheveux blonds coupé au carré, un visage fin, des yeux bleu azur. Bien en chair sans être toutefois grosse, elle était pourvue d’une poitrine généreuse qui à l’époque n’avait suscité aucune attention particulière chez moi. Elle n’était que la nouvelle femme de mon oncle avec qui je m’entendais bien, et non un objet de fantasme. C’est donc le sourire aux lèvres que l’idée fut énoncée par téléphone et rapidement acceptée. J’allais profiter du climat doux de juin, de leur piscine et des forêts environnantes. Arrivé aux alentours de 14 heures en gare de Mont-de-Marsan après un voyage en train assez long, j’étais accueilli par une Patricia tout sourire, lunettes de soleil, et vêtue d’une robe d’été arrivant à mi-cuisse. Je fus immédiatement étonné par sa fraîcheur et sa beauté. Etait-ce mon récent célibat qui me la fit voir sous un nouveau jour, ou l’approche de l’été et mes hormones hurlantes ? Toujours est-il que je me surpris à rougir rapidement en sa présence dès les premières bises. Une gêne typiquement juvénile vite remplacée par la fierté de déambuler dans cette gare auprès d’une femme si belle et désirable. Elle était fidèle à mes souvenirs, toujours aussi taquine et drôle. Elle ...
... ne cessait de parler, de rire et de sourire. De mon côté, je bégayais, rougissais, et baissais constamment la tête, gêné comme à un premier rendez-vous amoureux. Elle me dérida rapidement et me mit à l’aise lors du trajet en voiture (presque une heure pour rejoindre leur maison). Je me fis violence pour éviter de regarder ses jambes. Celle qui encore hier jouait le rôle d’une tante par procuration s’était rapidement transformée en tout autre chose à mes yeux. L’attirance, le désir et la honte se mêlaient en moi. Enfin arrivés chez eux après un trajet sous un soleil de plomb, je saluais sommairement mon oncle attablé avec quelques collègues bûcherons («débardeurs» pour être précis) puis Patricia me montra ma chambre. Spacieuse et douillette, elle était pourtant remplie de cartons divers et de vieux vêtements. Leur chambre à coucher venant à peine d’être tapissée, ils avaient tout déplacé dans cette pièce-ci provisoirement. Mon lit était déjà fait, et vu le climat, je n’aurais pas besoin de la couette. Une grande bibliothèque recouvrait tout un pan de mur, ce qui allait sans doute occuper la plupart de mes soirées. Je penchais la tête pour lire au hasard quelques titres de livres, mais Patricia m’interrompit pour me faire voir ma salle de bain privée. Une douche, un lavabo surmonté d’un grand miroir et des toilettes. Tout cela rien que pour moi. Une hôtesse de maison plus que charmante, difficile de rêver mieux. Après m’être changé rapidement pour une tenue plus confortable, je ...