1. Ma première fois avec Patricia


    Datte: 11/04/2018, Catégories: fh, fplusag, oncletante, forêt, volupté, noculotte, BDSM / Fétichisme Masturbation Oral yeuxbandés, init,

    ... était loin de me déranger. Mon excitation des premiers jours avait quasiment disparu. Je passais le plus clair de mon temps dans la piscine ou dans les bois environnants. Je dévorais toutes les bds qui passaient à ma portée, en un mot: je me reposais. Ce n’est que le matin du sixième jour, un lundi, où tout a dérapé. La veille, j’avais décliné une invitation à l’océan avec mon oncle et Patricia ainsi que quelque uns de leurs amis. Trop nombreux, j’étais gêné à l’idée de me montrer en caleçon de bain devant tout ce beau monde. Officiellement, je déclarais une migraine tenace pour y échapper. Ce matin-là donc, je fus réveillé par quelqu’un qui me regardait. Une sensation étrange de savoir que quelqu’un vous observe, sans bruit. J’ouvrais délicatement les yeux, et je vis Patricia de dos, déjà habillée d’une courte robe, qui enlevait sa culotte et la déposait au sol. Je m’apprêtais à assister à une nouvelle séance d’habillage, mais cette fois-ci, elle se retourna et me fixa longuement. Même tactique qu’à l’accoutumée, je simulais le sommeil. Elle s’approcha à pas feutrés, rapprocha son visage du mien comme pour mieux m’observer, et posa sa culotte en dentelle blanche sur mes yeux. Je ne bougeais pas d’un millimètre, ne sachant pas ce qui allait se passer. Son parfum intime m’enivrait, me rendait fou. Je devinais sa bouche à quelques centimètres de la mienne. Je voulais me relever brusquement et l’embrasser, la toucher, me frotter contre ce corps. Mais j’étais tétanisé. De ...
    ... l’appréhension également sur la tournure des évènements. Se doutait-elle que je ne dormais pas ? Que j’avais fouillé dans ses sous-vêtements ? Que je fantasmais sur elle depuis mon arrivée ici ? Dans un grand sursaut de courage et d’audace, je décidais de ne pas bouger, de faire le mort au maximum. Recouvert du drap, mon sexe était déjà bien dur, comme souvent le matin. C’est alors qu’elle m’enjamba. Elle passa sa jambe par-dessus mon corps, et se retrouva donc au-dessus de moi. Une main appuyée de chaque côté de ma tête, elle me surplombait sans pourtant me toucher. Je devinais son visage s’approchant de moi. Et le premier contact m’électrisa: sa langue. Sa langue chaude et humide me lécha les lèvres. De gauche à droite, lentement, elle humectait mes lèvres sèches. Mon sexe me faisait souffrir tellement l’érection était forte. Je ne bougeais toujours pas, les sensations étaient décuplées. Où ce jeu s’arrêtera t’il ? Je refrénais tant bien que mal mes pulsions, dissimulant un léger tremblement de ma jambe. Elle ne s’attarda pas trop sur ma bouche, mais me mordillait maintenant le menton. Tout était nouveau pour moi: Patricia, ici, me chevauchant, me léchant…Je découvrais tant de choses en si peu de temps. Tout était trop fort, trop intense, trop rapide. Pétrifié, je savourais ses nouvelles caresses, cette nouvelle partenaire. Elle s’abaissait doucement, sa tête était maintenant au-dessus de mon torse, recouvert du draps. Elle se déhancha, et je sentais son entrejambe qui se frottait ...
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