1. L'entrain de Julien (2)


    Datte: 13/04/2018, Catégories: h, fh, inconnu, train, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation occasion,

    Pendant un instant, je me sens totalement paralysé. Les tempes me battent, le cœur me saute dans la poitrine, ma gorge se noue. Et pourtant, je continue de bander violemment. Si elle voulait faire un esclandre, elle l’aurait déjà fait, me dis-je. Or, elle semble poursuivre sa lecture imperturbablement. Mais suis-je pour autant à l’abri d’un scandale ? Quelle honte ce serait si j’étais dénoncé comme exhibitionniste ! Cette perspective me terrorise et, en même temps, elle m’excite extraordinairement. Le plus facile serait sans doute d’arrêter tout et de me calmer en pensant à autre chose. Pourtant, je sais déjà que, dans quelques heures, tout en me caressant en solitaire, je regretterai l’instant présent et l’opportunité qu’il m’offre. Je ne dois donc pas renoncer ; aussi fou que cela soit, il faut que je persévère. Seulement voilà, je suis confronté à une difficulté pratique : comment extirper ma verge du caleçon et du pantalon sans une manœuvre très ostensible ? J’en suis là de mes réflexions lorsque je vois la femme se lever et disparaître par la porte du compartiment. Elle a laissé son livre sur son siège ; elle est donc certainement allée aux toilettes. Il faut que j’en profite ! Sans davantage hésiter, je plonge la main dans ma braguette et en extrait rapidement ma bite. Ainsi, sans vergogne, j’ai sous les yeux mon sexe nu, bandé à l’extrême. D’un geste de la main, je le décalotte complètement. Le gland est tout congestionné et une perle transparente suinte du méat. ...
    ... Quelle obscénité ! Et la femme qui va revenir ! Pour me donner un sursis, j’ouvre mon journal à hauteur de mes cuisses, de telle sorte qu’il abrite mon pénis. Puis j’attends, le cœur battant la chamade. La femme revient, se rassoit et se replonge dans son livre. Alors, en proie à une émotion violente, je soulève mon journal, ce qui a pour effet de me cacher le visage tandis que ma queue est désormais totalement visible. Et je compte mentalement jusqu’à vingt, convaincu que ce laps de temps sera suffisant pour qu’elle s’aperçoive de ma folie. Une étrange impression de nudité me parcourt tout le sexe et ajoute encore à mon excitation, au point que je ressens les prémices de la jouissance. Simultanément, une peur épouvantable me noue l’estomac. Imperceptiblement, je baisse le bord du journal jusqu’à permettre à mon regard de passer par-dessus. Que vais-je découvrir ? A-t-elle vu ? S’en offusque-t-elle ? Va-t-elle m’interpeller ? Je l’aperçois enfin. Elle lit. Mais son visage est rouge, très rouge. Incontestablement, elle est bouleversée. Si le scandale devait arriver, elle aurait sans doute déjà crié. Mais elle est peut-être trop timide pour s’y résoudre et son émotion pourrait traduire l’indignation plutôt que le trouble. Il faut donc qu’elle me voie la regarder au moment où elle jettera une nouvelle fois les yeux sur moi. Je reste donc dans la position, la moitié supérieure du visage bien visible au-dessus du journal. Pour être furtif, cela fut furtif. Pourtant, elle vient bien de ...
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