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L'entrain de Julien (2)
Datte: 13/04/2018, Catégories: h, fh, inconnu, train, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation occasion,
... lever les yeux un instant et l’accentuation de sa rougeur ne laisse aucun doute sur l’étendue du constat qu’elle a pu faire. Oh que c’est bon ! Oh que je bande de me savoir ainsi épié. Je laisse le journal reposer sur ma poitrine et je saisis ma bite dans la main droite et entame un lent va-et-vient. Quelle audace ! Quelle impudeur ! Je suis en train de me branler devant une inconnue. Je ne sais plus si c’est l’excitation, la peur, la honte ou la témérité qui me chamboule ainsi l’esprit et les sens. Un plaisir ineffable me transperce le ventre et me grimpe dans le sexe. Fixant la femme avec le plus parfait sans-gêne, je m’aperçois que le livre qu’elle tient entre les mains tremble beaucoup. Sans même lever encore les yeux, elle se rend sans doute compte de ce qui se passe et elle en est très émue. Ce qui décuple ma volupté. Bien que ma caresse soit très lente, je sens la sève se préparer à bondir. Une vague suave déborde de mes couilles et m’étreint la base de la queue. Ça vient ! Et elle me regarde enfin : elle voit ! Oh le délice ! Tant pis pour tout ! Et j’éjacule avec force de longs jets de sperme qui retombent sur le sol, sur la banquette, mais aussi sur mon pantalon. J’ai fermé les yeux, laissant les spasmes s’achever. Et je les garde fermés, car je vois venir l’instant piteux où je vais devoir essuyer les dégâts sous l’œil peut-être goguenard de la femme. C’est sans plus la regarder une seule fois que je sors un mouchoir et éponge du mieux que je peux les traces de ...
... mon plaisir. Cette fois, la honte est seule, sans mélange. Et je hurle intérieurement mon désespoir de m’exposer ainsi de manière aussi humiliante. Lorsque j’estime avoir fait le maximum possible, je reprends mon journal et me décide enfin à regarder la femme. Elle a disparu. Il faudra plus de trois semaines pour que je retrouve cette femme. Et je la retrouve une nouvelle fois dans un wagon vide et installés chacun aux mêmes places que celles que nous occupions lors de ma mémorable masturbation. Elle est déjà plongée dans un livre lorsque je découvre sa présence. Evidemment, j’en suis immédiatement ému. À quoi vais-je donc pouvoir aujourd’hui me livrer pour revivre une aussi grande délectation sexuelle que la fois précédente ? Peut-être devrais-je d’abord attendre un peu pour voir si elle me manifeste un quelconque signe de connivence. J’attends donc, les yeux surmontant à intervalle régulier le journal que je tiens dans les mains. À une occasion, elle a levé les yeux de sorte que nos regards se sont croisés. Mais si elle ne m’a semblé en rien hostile, je n’ai rien décelé non plus dans sa façon de me regarder qui trahisse une quelconque complicité. Je continue de l’observer. Elle croise les jambes et sa jupe, assez courte, dévoile l’arrière de sa cuisse gauche. Il me semble qu’elle a favorisé cette vue qui, sans être hardie, n’en est pas moins charmante. Suis-je une nouvelle fois en train de me faire des illusions et de prendre mes désirs pour des réalités ou bien est-elle ...