L'entrain de Julien (2)
Datte: 13/04/2018,
Catégories:
h,
fh,
inconnu,
train,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
occasion,
... effectivement en train de se plaire à me laisser regarder sous sa jupe ? Après tout, il ne me coûte rien d’y croire, d’autant qu’il n’en faut pas davantage pour me raffermir la queue. Je reste néanmoins coi, attendant la suite. Le temps s’écoule sans que rien ne se passe. Une première fois, la femme décroise et recroise les jambes. Ce qu’elle réitère quelques minutes plus tard. Mais cette fois, il m’a bien semblé qu’elle s’arrangeait pour avancer un peu les fesses sur la banquette, de telle sorte que sa cuisse soit bien davantage visible que la première fois. Et, effectivement, j’aperçois à présent la bande sombre du bas. Collants, bas à jarretelles ou auto-fixant, voilà ce que je ne puis dire. Mais le spectacle est bandant et je ne me fais pas faute de bander. Cette femme aurait-elle le projet de se montrer coquine ? Je me le demande. Et surtout, je me demande comment l’y encourager. Bien sûr, si je me livre à quelque nouvelle exhibition que ce soit, le risque est grand de décourager ses propres initiatives. Il me semble donc préférable de ne point broncher et d’être patient. Mais que les choses évoluent lentement, que diable ! Elle ne tient plus à présent son livre que d’une main, l’autre reposant sur sa jupe. Et voilà que je crois m’apercevoir qu’elle pince très discrètement le tissu de sa jupe entre deux doigts pour remonter celle-ci imperceptiblement. Suis-je en train de me leurrer ou travaille-t-elle subrepticement à se retrousser ? Je ne quitte plus sa main des yeux, ...
... y guettant le moindre mouvement. Oui, elle se trousse. C’est ténu, mais indubitable. L’excitation me monte à la tête. Non que la vision que j’ai d’elle devienne brusquement affriolante, car son geste est léger et sans conséquence spectaculaire. Mais de savoir qu’elle se livre à ce jeu et que celui-ci l’excite très certainement exacerbe ma propre excitation. Cette lenteur avec laquelle le scénario se déroule me rend fébrile. Nouveaux croisements de jambes. À force de patience, je dois admettre que les choses évoluent malgré tout. Cette fois, sa cuisse est plus visible que jamais et j’entrevois même une très fine bande de chair nue, nue et blanche, juste au-dessus de la bande sombre du bas. Un coup d’œil à son visage me permet de constater qu’elle est aussi rouge qu’elle le fut lorsque c’est moi qui m’exhibais. J’aimerais lui manifester quelque chose : mon intérêt, mon excitation, mon admiration. Comment faire ? Lui adresser la parole, je n’ose même pas l’envisager. Je me suis arrangé pour que la bosse que ma bite imprime à mon pantalon soit bien visible, voilà le plus que je puisse faire pour l’instant. D’ailleurs, elle ne me regarde absolument pas. Il n’empêche ! Sa main poursuit son patient travail de retroussage, au point qu’elle a à présent le bord de la jupe au milieu des cuisses. Le spectacle devient franchement coquin. Elle a les cuisses assez rondes, pleines et les bas qu’elle porte leur confèrent une teinte boucanée. Jusqu’où va-t-elle aller, voilà la question que je ...