1. Hôtel Bellevue


    Datte: 17/04/2018, Catégories: Entre-nous, Les femmes,

    ... Le malaise s’installa progressivement. Marie, voulait faire machine arrière. Elle avait décidé de mettre fin à cette liaison. A chaque fois depuis trois mois, elle n’osait pas aborder le sujet avec Sophie et repoussait à la fois suivante. Aujourd’hui, elle avait décidé de prendre le taureau par les cormes et de lui dire. Sophie et elles avaient encore fait l’amour, une fois de plus, elle avait reculé, avait été faible. Elle avait encore une fois repoussé l’échéance, par lâcheté, par peur de faire de la peine à son amante. Puis Sophie lui avait demandé de venir s’installer avec elle à Montpellier. Et là, elle avait craqué, fin de l’histoire. - Dans quel pétrin, je me suis, fourrée … - Bon, écoute, ce n’est pas si grave que ça en a l’air. Elle n’a pas ton adresse à Paris ? Juste ton numéro de portable ? Bon, au pire, tu changes de téléphone, tu changes de numéro et elle ne te retrouvera pas. - Oui, tu as surement raison. J’ai vraiment trop honte de moi. Pour qui je passe ? Une moins que rien ! En plus, je te mêle à toute cette histoire, tu n’y es pour rien. Tu es vraiment sympa de me consoler. Tu dois me prendre pour une lesbienne qui ne sait pas se retenir ! - Tu sais, moi, je ne te juge pas … je …. - C’est l’image que je donne pourtant. - J’allais te dire, que je suis mal placée pour te juger, je suis lesbienne. - C’est vrai ? - Eh bien oui, je suis en couple avec une femme. Un timide sourire éclaircit son visage. Je la sentais comme soulagée d’un seul coup. Le fait que je ...
    ... sois lesbienne semblait la rassurer, l’exonérer de sa honte. Elle était tellement attendrissante, que je n’ai pas pu m’empêcher. Ça a été plus fort que moi. J’ai déposé un baiser sur ses lèvres. - Tu fais quoi ? - Ne t’inquiète pas, tu as l’air tellement penaude que j’ai craqué. Et pas d’inquiétude, je ne suis pas Sophie moi, je ne veux pas qu’on vive ensemble. Je ne veux pas quitter mon amie. Je l’aime, comme toi tu aimes ton mari. Je veux juste finir de te remonter le moral. J’ai déposé à nouveau mes lèvres sur sa bouche, ouvrant cette fois un passage pour ma langue. Elle répondit à mon baiser, glissa sa propre langue contre la mienne. Alors que nous étions assises toutes les deux sur le bord du lit, je l’avais délicatement allongée sur le dos et m’étais allongée sur elle. Ma main caressait sa cuisse glissant sous sa robe, revenait vers le genou, remontait le long de sa cuisse sur la robe cette fois, pour caresser sa hanche. Nos bouches se séparèrent, pour que nous puissions reprendre notre respiration. Elle allait parler, j’ai déposé mon doigt sur sa bouche en disant : - Chuuutttt, tais-toi, laisse toi aller ! Et elle se tut, et elle se laissa aller … J’ai fait passer sa robe par son cou, j’ai enlevé ses bottes en daim, son haut pour découvrir un joli soutien-gorge rose pâle avec une culotte assortie que je devinais à travers ses collants opaques. Je soulevé ses épaules pour passer mes mains dans son dos et dégrafer son soutien-gorge,. Je découvris deux petits seins aux ...