1. Approche au Lunapark - 1


    Datte: 16/07/2017, Catégories: fh, fplusag, poilu(e)s, vacances, plage, Oral

    ... il va bientôt être midi. Je voudrais que tu rentres maintenant à l’appartement, que tu fasses ta toilette complète en te rappelant que tu n’as pas pris de douche ce matin et, ensuite tu nous reviens. Si Jean le veut bien, nous irons déjeuner ensemble. En petite fille bien élevée, Aurélie répondit "Oui, maman" et s’éclipsa. Nous étions seuls et je n’étais pas dupe du stratagème ! Aurélie à peine partie, Marianne s’est levée, m’a pris la main et m’a attiré vers la cabine dont elle a refermé la porte. Nous étions dans une semi-pénombre et la moiteur de ces cabanons réchauffés par le soleil. Un peu impatient, j’ai voulu enlacer Marianne et prendre sa bouche. Elle s’est reculée en me disant : — Non, c’est trop tôt… laisse-moi faire ! De ses mains délicates, elle s’est mise à rouler mon slip, dégageant la totalité de ma verge et découvrant mes bourses. Elle a palpé l’ensemble avec adresse, mais modération, refusant toujours tout autre contact de ma part. Finalement, elle a commencé d’une main un long et lent mouvement de masturbation, tandis que son autre main s’était enfouie dans son maillot et rythmait un même mouvement entre ses cuisses. Visiblement, elle voulait m’utiliser pour son propre plaisir, mais sans oublier le mien. C’était délicieux et d’un érotisme puissant, d’autant plus que Marianne avait aussi baissé son maillot et dévoilait, comme je l’avais supposé, une foufoune très bien fournie en pilosité… Ses doigts y fourrageaient… Moi qui aimais les femmes natures (et ...
    ... matures), j’étais à la fête. Soudain, Marianne s’est baissée et s’est mise à gober délicatement le gland de ma verge d’où perlaient déjà les prémices de ma jouissance. Le tout dans un silence absolu que je n’ai pas voulu rompre pour ne pas, en même temps, rompre le charme. Il ne s’agissait pas à proprement parler d’une fellation, mais plutôt de la dégustation d’une friandise. Cela ressemblait aux mouvements de langue d’une femme qui déguste une crème glacée en cornet en se promenant sur la digue !! J’étais à la limite de l’éjaculation et, pour éviter à Marianne mes jets sur son visage, j’ai mis ma main sur sa tête pour lui faire comprendre. À elle de choisir ! Je n’avais pas remarqué qu’elle avait dénoué son soutien-gorge et qu’elle était maintenant pratiquement nue devant moi. Sa bouche continuait à s’activer maintenant le long de ma queue, tandis que d’une main elle se caressait les pointes des seins, les tirant, les massant, tandis que l’autre était toujours coincée dans son entrecuisse probablement avec des doigts bien pénétrés, car j’entendais des clapotis, témoignage de son propre plaisir. Je n’allais pas pouvoir tenir longtemps et j’ai commencé un mouvement de va-et-vient du bassin pour bien avertir Marianne. Celle-ci s’est alors redressée, abandonnant ses mouvements de succion et finalement, elle m’a fait jouir à la main avec dextérité tout en se donnant elle-même des plaisirs convulsifs qui arquaient tout son corps. Elle a conduit elle-même mes jets d’éjaculation sur la ...
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