Le déménagement
Datte: 17/04/2018,
Catégories:
fh,
cocus,
Collègues / Travail
hsoumis,
fdomine,
humilié(e),
jalousie,
Oral
cocucont,
... ma puce, m’écrié-je !— Ne va pas croire que c’est toi qui me fais cet effet, mon cocu. Le fait de savoir que je vais peut-être me faire ton patron m’excite énormément ! Coquine, salope, mais coquine ! N’y tenant plus, je dirige alors mon sexe vers le sien si accueillant, je sens ses mains m’agripper les fesses et les attirer en avant afin que je m’introduise d’un coup au plus profond d’elle. Sentir ma queue de tout son long dans son fourreau chaud et humide me délivre une décharge de plaisir. — Ohh Putaaain… que c’est boooonnn ! m’exclamé-je— Oh ouiii, mon cocu ! Son bassin ondule de plus en plus au rythme de mes assauts. Je lime, pistonne comme un furieux tant l’excitation est forte et le plaisir est grand. Les gémissements de plaisir que laisse échapper ma femme en rajoutent à mon excitation, je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme. Audrey le sent et ralentit la cadence. — Hummm mon cocu, mais quelle forme ! Doucement, je t’interdis de jouir sans moi. Elle se retire, me demande de me retourner et vient s’asseoir sur moi. De la sorte, elle peut bien mieux maîtriser les mouvements, son plaisir et mes ardeurs. Elle est là, à s’activer sur mon manche, se cambrant, gémissant, ondulant des fesses. Je l’admire, si belle, si femme… je la dévore du regard et en profite pour lui malaxer les tétons durcis par l’excitation et pointant inexorablement vers moi. Elle explose enfin, les oreilles rougies par le plaisir, son corps frissonnant, le souffle court. Elle crie son orgasme ...
... quelques secondes et s’affale tout contre moi. Ainsi tous deux immobiles, quelques minutes passent, je lui caresse tendrement le dos, la tête… tout en déposant des baisers furtifs sur la peau tendre et douce de son cou. Quelques minutes passent donc avant de la voir enfin relever le nez pour me dire doucement : — Mais tu n’as pas joui, mon coquin ?— Euh… ben non, tu me l’as interdit… réponds-je ironiquement.— C’est bien ! Mon cocu est aussi obéissant…. me dit-elle en souriant, puis elle rajoute : je vais donc te récompenser en t’accordant une faveur. Un ange passe, Audrey me dépose un baiser au coin des lèvres, pose une main sur mes yeux et rajoute d’une voix lancinante : — Profites-en, mon petit cocu, car c’est une première et se sera certainement la dernière fois aussi. Par la suite, je réserverai ce traitement exclusivement à mes amants… garde les yeux fermés, laisse-toi faire et apprécie. Je m’exécute et ferme les yeux. Les yeux fermés, toutes les caresses, les frôlements, les souffles sont amplifiés… Je me laisse donc aller. Ses mains me parcourent le torse, je sens ses lèvres embrasser mon ventre et redescendre, tout doucement, mais sûrement, jusqu’à mon sexe qui pointe comme jamais vers les cieux. Elle le branle doucement, je sens une caresse sur mon gland qui doit provenir certainement du bout de sa langue, car cette caresse est chaude et humide. L’excitation que je pensais déjà être à son comble grandit encore d’un grade lorsque je me sens littéralement gobé par sa ...