Le déménagement
Datte: 17/04/2018,
Catégories:
fh,
cocus,
Collègues / Travail
hsoumis,
fdomine,
humilié(e),
jalousie,
Oral
cocucont,
... bouche. Ma queue va exploser tant elle est dure et gonflée. Jamais Audrey ne m’a sucé ainsi… ou bien est-ce le fait d’être totalement passif, les yeux fermés, qui exacerbe mes sens ? Toujours est-il que je n’ai jamais ressenti tant de sensations, toutes plus divines, toutes plus intenses les unes que les autres. Je sens sa langue, de temps en temps, louvoyer autour de mon gland, puis ses lèvres bien serrées sur ma hampe exercer un mouvement franc de bas en haut sur mon pieu prêt à exploser. Je savoure et déguste lorsque je la sens aspirer à pleins poumons l’extrémité de ma queue pour me faire monter ma sève. Ma sève, mon nectar n’a pas besoin de monter bien haut, je suis prêt à exploser. Je tente alors de l’en avertir sachant qu’elle n’aime pas ce genre de pratique et encore moins en avoir la surprise, je balbutie donc un rapide : — Au… dr… eyy, stoop ! att… en… tion !— Shuttt, tais-toi et profite ! Elle se remet à l’ouvrage avec tout autant d’application et de cœur que quelques minutes auparavant. Oh pas bien longtemps, je n’en peux plus ! J’explose de toutes mes forces dans sa bouche si accueillante. Je ne pourrais dire quelle quantité de sperme j’ai délivrée, mais ce qui est sûr c’est que je n’ai jamais joui si fort et si abondamment de mon existence. J’étais aux anges, sur un nuage… — Ohhh que c’était bon ! J’en reviens pas, lui dis-je en soupirant.— Je suis contente que ça t’ait plu.— Mais pourquoi ?— C’est simple, je voulais que par la suite tu puisses imaginer ce que ...
... ressentiront mes amants lorsque je leur ferai la même chose… Comme je te l’ai dit, seuls mes amants y auront droit dorénavant et j’espère bien que le prochain qui aura cette faveur soit ton patron, mon chéri, me répond-elle avec d’un air espiègle et coquin. –––oooOooo––– Au matin, avant de partir je dépose sur la table de chevet d’Audrey encore endormie, un croissant accompagné d’une rose fraîchement cueillie au jardin et sur la tige de laquelle j’ai enroulé un petit mot : J’arrive à la salle un peu en avance, pourtant Djé (c’est ainsi que je l’appelle depuis qu’en plus d’être mon patron nous avons sympathisé), Djé est déjà là. En effet je le retrouve sur le banc de musculation, il s’entraîne avant l’ouverture. D’un signe de la main afin de ne pas le déranger, je lui annonce ma présence. Je me sens un peu gêné, un peu bizarre… Je le regarde avec un peu plus d’attention que d’habitude et le vois différemment que d’habitude. Ma femme a des vues sur lui… pourquoi lui ? Non, elle a dû me dire ça pour m’exciter, peut-être aussi pour me tester… elle n’osera jamais l’appeler ! Que lui dirait-elle ? Elle ne l’a qu’à peine croisé furtivement une fois… Pourtant la journée se passe et je suis dans un état second. Le stress m’envahit dès que je le croise, et si Audrey l’avait déjà appelé ? Et s’il savait ? Est-ce normal, ce léger sourire qu’il a lorsqu’il me parle, je ne l’avais jamais remarqué ? Non je me fais des idées, il faut que j’arrête de psychotiser… Une fois rentré, la soirée se ...