Ta meilleure amie
Datte: 16/07/2017,
Catégories:
fh,
ff,
nympho,
pénétratio,
fdanus,
init,
mélo,
lettres,
amourdram,
... prends pour la Callas ! Tu vas gueuler comme une salope ! Il est grand temps de goûter le plaisir à des sources nouvelles. Tu te souviens de la citation :— Un jour l’ennui naquit de l’uniformité. Cesse de t’ennuyer avec ton mari unique, trompe-le, tu jouiras mieux et plus souvent.— Quand je te dis que Paul me suffit ! Je veux bien te le prêter une fois, je fermerai les yeux. Mais après nous reviendrons à la normale : Léon avec toi et moi avec mon mari.— Et nous deux ? Tu ne m’aimeras plus ?— Entre femmes ça ne compte pas ; tu me l’as toujours dit.— Oui, c’est-ce que je t’ai dit. Ta rengaine me lasse. Je vais lui raconter, à ton petit fonctionnaire, combien tu m’aimes et, s’il est aussi nul que tu le dis, il te plaquera et tu seras contente de trouver ta petite Angèle et son gros Léon pour tes petits plaisirs ! Donc, lundi en quinze, à midi, rendez-vous ici, Léon sera en congé et je vous aiderai à vous connaître ! Il me fait reluire, sa queue te fera grimper aux rideaux ! Bon, tu as vu l’heure, un dernier bisou d’amour et vite, sinon tu vas être en retard ! Il ne faut pas éveiller les soupçons de ton tyran domestique à voie unique ! Il est trop tard. Je sais et je me sauve. Tu es arrivée au travail tout pile, rouge, essoufflée, des boutons ouverts, les cheveux dépeignés. Le dernier round a été violent si je juge les résultats apparents. Angèle tente de te compromettre pour t’assouplir. J’attendais ton retour en haut de l’escalier. Tu m’as regardé de façon étrange. J’ai fait ...
... celui qui ne remarquait rien. À quoi bon remarquer. J’ai vu passer Angèle, l’air satisfait, bravache. Depuis, je ne bande plus. Tu ne comprends pas ma défaillance, tu ne peux pas comprendre ce que je ressens, la profondeur de mon désespoir. Nous étions si heureux avant la réapparition de ta damnée copine. Au lit, tu as tout essayé, bravement, pour me rendre ma virilité. Tu en es émouvante. Tu t’appliques en vain, ni les mains, ni la bouche, ni la langue ne réussissent à redresser le ressort cassé. Tu m’as présenté ta rose, autre orifice dédié par ta copine à une double pénétration, je n’allais pas dévier après tant d’années d’amour vrai, propre. Je n’ai pas voulu y mettre un doigt, ni ma langue, ni ma lamentable flèche brisée. De toute façon tu as un plug pour calmer ces envies. Je n’ai plus d’appétit pour ton berlingot, je laisse Léon te sodomiser en rêve, t’enculer n‘est pas la grande ambition de ma vie. La vue de ton abricot me laisse de glace, mon nez ne reconnaît plus l’odeur de ton sexe, ton jus n’a plus de saveur. Le dégoût : c’est ça, le dégoût m’accable à cause des manigances de ta copine et de ta soumission à ses idées perverses. Qu’est-ce que l’amour pour ton « gentil mari » à côté des nouveautés que tu comptes découvrir dans des orgies à trois ou à quatre ? Que reste-t-il de mon épouse ? Tu pourras te targuer d’avoir évolué avec ton époque. Tu ainsi as toutes les bonnes raisons d’aller chercher ailleurs le bonheur que te promet ta meilleure amie. J’ai bien compris, ...