Hélène (14)
Datte: 17/04/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... correctement. A ce moment, un sms tombe sur mon portable : « Atterrissage terminé, Maison dix-huit heures » Une heure, mais je ne serai jamais prête. Je boucle mon soutien-gorge à la va vite, Je m’ajuste mes seins pour que mes fraises des bois débordent à peine. J’enfile des bas coutures couleur bronzée et les fixe à l’attache. Culotte or not Culotte, comme disait Sexspeare ? Yes, je l’enfile en équilibre d’une jambe sur l’autre, Les talons maintenant. Première partie terminée, je me vérifie dans le miroir, tout est en place, le cul, les poupoutes : nickel ! Il va comprendre son bonheur d’avoir une ronde comme compagne. Bon, que choisir, robe ou peignoir. Le peignoir, ça fait un peu pouffe qui attend son homme. Donc robe, mais la quelle. Zut, il reste un quart d’heure. Et puis un flash. J’attrape une robe de printemps en mousseline et soie, descendant à mi mollet, jaune avec des motifs vert, à la taille serrée par une ceinture et un col en V, avec un châle assorti. Je la retourne et j’enlève la doublure. Je la passe, je serre ma taille, et j’arrange le décolleté, avec juste un peu de cicatrice apparente. Petit passage dans le miroir. Impeccable : une petite bourgeoise bien sage, comme si j’allais à la messe. Je recule d’un pas, et je tombe dans la lumière du velux. Les transparences révèlent mon anatomie pulpeuse, emballée dans mes dessous. Pierre va craquer, lui qui adore le sexy chic et suggestif. Avec lui, il ne faut rien montrer, tout laisser deviner. Dix-huit heures, Je ...
... brosse mes cheveux en liberté, je suis pile-poil prête. Je m’allonge sur le canapé. Je regarde ma montre dix-huit heures dix, un coup d’œil à la fenêtre, rien Dix-huit heures vingt, je tends la main vers mon mobile, mais je résiste. Dix-huit heures vingt-deux, je n’en peux plus, je pianote sur le portable - T ou ? - Devant la porte. Me répond l’écran. Le téléphone vole et atterrit sur le canapé, je cours à la porte d’entrée. Celle-ci s’ouvre. Pierre est à peine dans le corridor, qu’une tempête vaporeuse le plaque contre le mur. Je l’embrasse goulument, comme une morte de faim, je respire à pleins poumons sa merveilleuse odeur. Nous restons soudés l’un à l’autre de longues minutes, sans d’autre bruit que celui de nos baisers. Je le libère, lui prend la main, et je l’emporte vers notre chambre. Au passage il récupère un gros sac. Je passe d’une raie de lumière à l’autre, montrant et cachant alternativement mes formes. Nous arrivons dans notre suite. Mon coquin me bloque devant l’encadrement de la fenêtre pour apprécier les effets de lumière. Je me sens admirée, convoitée, désirée. - Chérie, laisse-moi me laver, ouvre ton cadeau. Dans ce colis, je trouve trois paquets, un gros, un moyen, un plus petit. J’ouvre le premier. J’y trouve une camisole de soie jaune pâle. Puis un grand pantalon flou, du même tissu, ouvert à l’entrejambe, les plis du tissu se recouvrant pour cacher et protéger les zones stratégiques. Au bas du pantalon un galon resserre les chevilles. La troisième pièce ...