1. Hélène (14)


    Datte: 17/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... balafré, saisit mon mamelon et le pince en même temps qu’il me encule de plus en plus violement. Je pars. Quand je reviens, mon sultan est en train de dégrafer mes bas, puis mon galbe- taille. Mon corps s’ébroue, heureux de ne plus être contraint. Mais j’ai une semaine sans mon homme à rattraper. Je l’allonge, j’attrape sa verge, je lui rends sa vigueur avec mes lèvres et ma langue. Et je m’empale, à genoux sur lui. J’offre ma poitrine à ses doigts, il torture mes pointes, me les tord, me les tourne. Souffrance en haut, plaisir en bas, quel bonheur ! Toute la nuit, nous jouerons avec le corps de l’autre. Il est infatigable, je suis insatiable. Après tout, ça fait une semaine que je n’ai pas connu d’homme, mon homme. Odile ne compte pas. Nous nous sommes endormis encore enlacés. Midi nous trouve au lit, reposés et repus de l’autre. Je pose ma tête sur sa poitrine. - Comment as-tu trouvé ce costume ? - Ce n’est pas un costume, mais de la haute couture. - Comment ça ? - En Turquie, pour m’accompagner et me guider d’usine en usine, ils m’ont confié à une de leurs assistantes de direction. A Istanbul, je lui ai demandé de ...
    ... m’aider à trouver un costume de sultane. Elle m’a proposé d’aller chez un de ses amis qui est un jeune créateur. Il trouve son inspiration dans la culture ottomane, et il la mêle à une vision plus contemporaine. C’est une de ses créations que je t’ai ramenée. - La société avec qui tu négocies te confie à une de leurs assistantes. Voyez-vous ça ! Fais-je ironique. - Elle s’appelle Halise, ça veut dire pure, chaste. Silence. J’entrecroise mes doigts avec ceux de mon sultan, puis je dépose un baiser sur son torse, à hauteur du cœur. Je repose ma joue sur sa poitrine. C’est le moment de l’aveu. Sans le regarder, je lâche. - Mon Chéri, je t’ai trompé. Sa main écrase la mienne et se crispe. - ... - Mon amour, s’il te plait, parle-moi ezteyydx - Avec qui ? - Avec Odile ! - Odile ? Cette grande maigrichonne. Raconte ? Ses doigts se détendent. Et comme Shéhérazade avec son calife, pendant mille et une nuits, je fais le récit de mon aventure. Quand j’ai fini, je me retourne sur lui et je cherche son regard. Il a son sourire indéfinissable - Tu vas me punir, mon amour. - Non, j’ai une meilleure idée. - C’est pervers. - Très - Chic. A suivre 
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