Hélène (14)
Datte: 17/04/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... est une tunique, à manches longues, descendant jusqu’en dessous des genoux, se cintrant à la taille puis s’évasant autour des hanches, boutonnée du cou jusqu’au deux tiers de la longueur. Les boutons sont si nombreux et si serrés, que je peux juste glisser un doigt entre eux. Enfin je déplie un grand gilet à emmanchures très large avec un col haut et remontant derrière la nuque. Le tout dans les tons jaunes oranges et blanc, et brodé et sur-brodé avec des motifs de fleurs et d’oiseaux. - C’est magnifique - Ouvre les autres. Me répond-il depuis la douche Je fais voler le deuxième emballage, et je découvre un splendide turban agrémenté d’une grande aigrette, dans les tissus assortis au costume. Je déballe le plus petit. Il contient les bijoux, pour compléter le costume : collier, grandes boucles d’oreilles, d’autres plus petites, visiblement destinées à être suspendues au turban, une chaine en or pour ma cheville et une autre à ceindre autour de la taille. Tous réalisés en pierres semi-précieuses, dont les couleurs reprennent celles du vêtement, ambre citrine, cornaline, grenat, opale. - Tu es fou - Ça t’ira très bien, ma beauté Pierre se colle dans mon dos, je sens qu’il est nu, il m’entoure de ses bras, en me prenant les mains, je bascule ma tête en arrière, mes cheveux caressant son épaule - Je suis ton odalisque, mon sultan. - Chérie, les odalisques étaient au dernier rang des femmes du Harem. Elles ne rencontraient jamais le sultan. - Comment tu sais ça ? - Une voix ...
... amie me l’a soufflé. Toi tu es ma Baš Haseki, ma première épouse, ma sultane. Je me retourne. Pierre n’a pas mis de peignoir. Il soulève ma robe, et m’en débarrasse. Il me fait tourner sur moi-même, avec un sourire mi- admiratif, mi- carnassier. Le jaune de mes dessous s’accorde à la pâleur ivoirine de ma peau. Il m’ôte mon soutien-gorge, puis me pousse vers le lit, et me place à quatre pattes. Ma culotte glisse jusqu’à mes mollet. Sa langue honore mes deux orifices et les fouille tour à tour, une main malaxe un téton, l’autre froisse mon clitoris. Je suis sollicitée de toutes parts. Je coule. Il se redresse, et se présente devant ma chatte. - Non. Prends-moi par derrière ! Il s’appuie sur mon œillet, qui résiste un instant, puis il s’ouvre. Il s’introduit avec lenteur me laissant déguster chaque instant de ce délicieux supplice du pal. Quelle merveilleuse dilatation, je le laisse aller doucement dans mon rectum. J’ai l’impression de m’offrir pleinement à mon Sultan. Puis je me recule, donnant d’un petit coup de cul, le signal de la cavalcade. Je lève les yeux, et rencontre mon reflet dans le miroir du dressing. Quelle image ! Je suis sur les genoux, mes seins ballotent entre mes bras, j’ai la bouche ouverte, j’halète, mes cheveux coulent sur mon visage. Mon amant me surplombe et me sourit, mi- tendre, mi- sauvage. J’adore cette sodomie si douce. Le spectacle reflété dans la glace m’enivre. Je vibre de plus en plus sous ses assauts. La main de mon amour capture le sein encore ...