Promenade en Forêt (4)
Datte: 19/04/2018,
Catégories:
Zoophilie,
J’ai vraiment essayé de voir si je trouvais trace d’annonces évoquant la perte d’un Golden Retriever aux alentours de chez moi, sur les panneaux d’informations des magasins de la région – là où les gens appose leur affichette de vente de véhicule, ou de recherche de travail... J’ai même téléphoné à la SPA locale. Bon, certes, je suis restée vague au téléphone, évoquant simplement un chien peut-être perdu aperçu sur le bord d’une route depuis ma voiture, rien de plus. Je ne sais pas comment j’aurais réagis si j’avais été informée que quelqu’un, quelque part, déplorait la perte de mon Dick. En tout cas, personne ne semblait avoir déclaré la perte de son Labrador. S’agirait-il d’un chien abandonné lâchement dans un bois par un malotru lassé de cette responsabilité ? J’ose l’espérer. Toujours est-il que Dick est finalement resté avec moi... et je crois que nous en avons bien profité, tous les deux ! Au début, j’ai eu peur que nos rapports sexuels dénaturent la relation chien – maitresse normale. Comment allais-je me faire obéir d’un chien sous les pattes duquel je me m’abandonnais sans retenue à chaque fois que l’occasion se présentait, frémissant, puis gémissant et souvent finissant sanglotant du plaisir dévastateur qu’il me procurait ? Eh bien, en fait, cela ne posait aucun problème ! Un véritable rituel s’était créé entre nous : quand je désirais mon chien, avant le passage à l’acte, je l’excitais toujours de la même façon, avec les mêmes jeux, dans le jardin de derrière, ...
... avant de m’enfuir en courant vers la maison, Dick sur les talons. Puis à l’intérieur, nos jeux devenaient très vite torrides. Ce scénario maintes fois répété, le chien l’avait accepté complètement, si bien qu’il se mettait souvent à bander à peine nos jeux préliminaires commencés. Mais en dehors de ces réactions évoquant le réflexe de Pavlov, il restait mon chien et moi sa maitresse. Il m’obéissait quand je le sortais en laisse dans la rue, ou quand nous restions à la maison. Jamais il n’a tenté de me monter en public ni en privé, en dehors de nos rituels réguliers. Je vivais ainsi une expérience inoubliable. De coït en coït, j’appris à maitriser nos jeux tabous de mieux en mieux. J’acquis la manière de garder le contrôle de son sexe impétueux lors de mes fellations : en plaçant ma main au bon endroit, juste derrière la boule de son knot, et en serrant ou desserrant mon étreinte de manière appropriée, je lui permettais de faire aller et venir son sexe à grands coups de reins, ou le retenais dans ses mouvements, en rythme comme en amplitude, ou même l’arrêtais complètement. Ainsi, je pouvais à loisirs profiter de la sensation divine de ce membre raide et épais, animal, glissant dans ma bouche au rythme que je désirais, s’enfonçant à la profondeur que je choisissais... Et il en allait de même avec les pénétrations vaginales : là, la clef de la maîtrise consistait à redresser le dos plus ou moins, en cambrant les reins, pour le retenir, ou au contraire de bien me pencher en avant, ...