Promenade en Forêt (4)
Datte: 19/04/2018,
Catégories:
Zoophilie,
... les cuisses bien ouvertes, le cul bien cambré, pour qu’il accélère... Et bien d’autres trucs encore. Au bout d’une dizaine de jours de vie commune, j’étais sexuellement comblée... Jamais je n’avais autant jouis de ma vie ! Mais je réalisais que cette relation m’aliénait socialement quelque peu : à part pour les cours à la FAC et l’alimentaire, je ne sortais presque plus, et ne voyais plus guère de monde. Il me fallait sortir de ce cycle d’isolement. C’est alors que je me souvins de Fanny, la jolie caissière du magasin où j’étais allé quand j’avais ramené Dick à la maison, et à qui j’avais raconté l’avoir trouvé dans les bois. Je me remémorais ses réponses ambigües laissant entendre qu’elle aimait beaucoup les bêtes, elle aussi... Je revoyais en mémoire sa jolie figure de rousse, aux délicates taches de rousseur, qui faisaient ressortir ses beaux yeux bleus délavés.... sa peau blanche, que j’imaginais douce à ravir... Cette simple évocation me laissa dans un état d’excitation inattendu : était-ce le manque de rapport humain qui se manifestait malgré le haut degré d’assouvissement de mes envies sexuelles ? En tout cas, je résolu de tenter ma chance avec la jolie Fanny, et comme il faut battre le fer tant qu’il est chaud, je me mis en route de suite vers son magasin : j’avais un plan. Une fois arrivé, après avoir vérifié subrepticement que fanny était présente à sa caisse, j’entrai et fis d’abord deux ou trois courses dans le magasin, sans oublier quelques articles canins : ...
... sac de croquettes, shampoing pour chien, deux jouets... Il était important qu’elle n’ait aucun doute sur le fait que j’étais toujours en possession du chien, pour que la conversation glisse sur ce sujet à coup sûr. Après une hésitation, je glissais aussi dans le panier au rayon cométique une bouteille de gel intime – elle ferait sans doute le rapprochement, et pris ma place dans la queue de la caisse. Il y avait peu de monde et mon tour arriva vite. « Bonjour Julie ! » me lança-t-elle en me souriant. Puis en me voyant déballer mes courses elle poursuivit : « alors, tu as toujours ton golden on dirait ? » « Gagné », me dis-je. « Eh oui, tu vois. Je n’ai trouvé personne qui le cherchait » répondis-je en haussant les épaules. « J’imagine que cela va être mon chien maintenant ! » En passant mes articles devant son laser Fanny pesta : « je trouve ça vraiment dégueulasse d’abandonner un chien comme ça, en pleine forêt ! Les gens qui font ça devraient être sévèrement punis ! » Elle ajouta peu après : « il est gentil, au moins ? » « Oh oui, c’est vraiment un super chien, très attentionné. » Je ne quittais pas ses yeux du regard, et perçu son trouble quand elle passa le gel devant le lasser. « Tu sais, il fait vraiment tout ce que je lui demande, c’est un véritable amour ! » Julie s’arrêta de saisir mes articles. J’étais seule à sa caisse à ce moment. Elle me rendit mon regard en me fixant de ses yeux bleus. Je vis un rose léger teinter ses joues. Elle se racla la gorge. « Rhmm. Heu... ...