Promenade en Forêt (4)
Datte: 19/04/2018,
Catégories:
Zoophilie,
... est très consentant, et il en profite aussi ! » Dis-je en riant. « Ça n’a pas l’air de te choquer, dis-moi ? » Il y eu un silence que je rompis après quelques secondes, d’une voix douce : « Ça te dirait de le voir en action ? Ou même d’en profiter toi aussi ? » Silence, encore... Puis, timidement, elle lança d’une petite voix « Ouais, ouais, je pense que ça me dirait... » « Cool ! » Dis-je d’une voix tranquille. Je lui tendis mon téléphone. « Regarde déjà ces quelques photos, si tu veux. » Fanny pris le téléphone et commença à faire lentement défiler les images. J’avais préparé l’album avant de venir, et j’avais classé ces photos, prises par moi-même à main levée ou en utilisant le retardateur, selon une progression de la plus anodine à la plus pornographique. Il y avait aussi quelques vidéos, qui apparaissaient sur l’album après les photos. Je m’amusai à la regarder du coin de l’œil pendant qu’elle découvrait une à une les images de nos parties de plaisirs à Dick et à moi. C’était aussi très excitant, pour moi comme visiblement pour Fanny, qui se troublait de plus en plus au fur et à mesure du visionnage... Surtout quand on voyait une partie intime de mon anatomie sur l’image... « Tu aimes bien mater, toi, hein ? » Dis-je en continuant à conduire. Elle acquiesça d’un hochement de tête, en ajoutant « mais j’aime bien participer aussi... ...
... » Sur la photo d’après j’étais nue, vue légèrement du dessus, allongée sur le clic-clac. Une de mes jambes était relevée, repliée, l’autre bien étendue, les cuisses légèrement écartée. Dick avait posé sur le canapé du côté de la jambe allongée ses pattes antérieures, la tête penchée sur mon entre-jambes, et on devinait qu’il me léchait la chatte. Fanny soupira d’excitation. « T’es vachement belle, quand même ! » « Merci. Je suis ravie de te plaire « répondis-je en posant ma main droite sur sa jambe gauche, sur la partie exposée à l’air libre par sa petite robe légère. Fanny se tourna vers moi, et me sourit. Je levai le pied de l’accélérateur et la voiture ralenti puis s’arrêta sur la route, où nous étions seuls. Je me penchai et l’embrassa délicatement, dans un baiser qui, sous son impulsion, pris de la vigueur et de la passion et finit en longue étreinte torride, nos langues se mêlant, nos mains caressant nos corps... Un bruit de camion se fit entendre loin devant nous. Nous nous séparâmes à regret et je redémarrai la voiture. Le camion fit jouer son klaxon bruyamment au moment de nous croiser. Il nous avait vus. «Va chier, gros con de mec ! » Lança Fanny. Nous rîmes. « C’est encore loin, chez toi ? » Demanda-t-elle en reprenant son visionnage. « Non, on arrive dans cinq minutes » répondis-je. Et j’en étais très heureuse. J’étais en feu.