1. Résonance primitive 3


    Datte: 19/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... sur ses chevilles, d’un coup. Il portait un slip kangourou blanc, propre, étonnamment propre, et volumineux niveau paquet. Il le fit glisser jusqu’à ses genoux, et quand il se releva, nous vîmes notre première bite en vrai, ainsi que ses couilles qui pendaient, presque à se décrocher tellement elles semblaient lourdes. - tu bandes pas ? S’étonna Marie. - Bin non ! Marie s’avança vers lui les yeux rivés sur cette verge pendante. Lui faisant face et me cachant la vue, je dû m’approchais à mon tour pour voir sa main se tendre et effleurer cette peau fortement veinée. - C’est doux. Constata-t-elle. Touches. - Pas tout de suite. Lui répondis-je. Même si j’en avais envie, j’étais assez troublé pour hésiter. D’autant plus que sa bite semblait prendre du volume et se redresser lentement mais surement. - Regardes, je le fait bander. Puis s’adressant à lui. Ça te fais du bien ? - Bin oui. C’est excitant. - Tu vas éjaculer ? - Pas comme ça, il faut…euh, enfin… - Enfin quoi ? Demanda-t-elle, excitée elle aussi. - Faut la caresser, la prendre dans sa main et coulisser, comme traire une vache. Aïe ! moins fort. - Comme ça ? elle ne perdait pas une miette du va-et-viens de sa main autour de ce gros mandrin. Moi non plus d’ailleurs. Mais je jetais un œil aussi au visage de Dudule. Ses yeux étaient mi-clos, sa bouche entrouverte. Sa respiration s’accélérait et sa tête partait parfois en arrière, tout en lâchant un grognement. J’avais envie de la toucher moi aussi. J’avais aussi envie de ...
    ... glisser ma main dans mon short et de me doigter. Je sentais que je coulais. Et puis, l’odeur de nos transpirations devenait plus forte, entêtante, enivrante. - Et vous, nous dit-il, vous me montrez aussi ? Moi aussi j’ai jamais vu en vrai. Marie ne se fit pas prier. De sa main libre, elle descendit son short et sa culotte en une fois. Puis, elle écarta de deux doigts sa chatte pour lui montrer son intimité. - Je ne vois rien, dit-il, recule un peu. Mais Marie ne voulait pas lâcher le morceau. - Aline, montre la tienne. Allez ! Elle me sortait de mon hypnose provoquée par le flic flic que produisait le va et vient de sa main. Les hommes aussi mouillaient ? Je baissais timidement mon short à mon tour, puis ma culotte auréolée de cyprine. Je m’arrangeais pour la cacher dans mon short, un peu honteuse, puis entrepris, comme Marie, d’écarter mes lèvres. - Montes sur la table. Me demanda Roger. - Le plafond est trop bas, et les tôles sont brulantes. Protestais-je. - Assis-toi dessus alors, et ouvre bien tes cuisses. M’ordonna Marie, le regard étrange. Pas question de poser mon cul sur cette table dégueulasse. J’ôtais mon short et ma culotte qui m’entravaient, puis à l’aide d’une des chaises, je grimpais le plus proprement possible sur la table. Je cherchais le meilleur appui à la fois sur mes jambes, plantés devant et ouvertes, et sur mes mains en appuis sous mon dos et légèrement derrière moi, tout en évitant le contact entre mes fesses et la table. Roger avait ses yeux scotchés sur ma ...
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