Résonance primitive 3
Datte: 19/04/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... fente et sa respiration était encore plus forte. - Tu vas éjaculer ? Lui demanda Marie. - Oui, ça va venir, continu. Puis s’adressant à moi. T’es belle, toute luisante. - Tu aimes ? Lui demandais-je en écartant un peu plus, et en soulevant plus haut mon bassin. - Oh oui, c’est la plus belle chose que j’ai jamais vue. Je peux toucher ? - Non ! Qu’avec les yeux. Intervint Marie. Puis soudain ; - Plus vite, plus vite… Il saisit Marie, par le poignet qui l’astiquait, et lui imprima un rythme plus élevé. Sa bouche s’ouvrit encore plus grande, ses yeux se fermèrent complètement, et surtout, il ne respirait plus. Il n’y avait plus que le flic flic très rapide et la voix de Marie qui demandait ; - Comme ça ? encore plus vite ? C’est bon ? Pour toute réponse, un râle puissant, effrayant, comme un nageur resté trop longtemps sous l’eau et qui retrouve de l’air. Et le sperme, qui gicle loin, plusieurs fois, accompagné de spasmes qui secouent tout son corps. Marie ouvre les yeux en grand, fascinée par ce liquide qui coule épais sur sa main. Elle le branle encore un peu, puis porte ses doigts à son nez et les renifle en faisant la grimace. » Interlude SMS. Damien sans doute. Aline attrape son portable et sourit à la lecture. - Il vient de déposer Manon. Me dit-elle. Puis elle me cadre et me dit ; Cheeeesse ! Sans me décoller de sa chatte, je dis cheeesse à mon tour, en ajoutant un clin d’œil et le signe ok de ma main droite. Elle tapote, puis repose son téléphone. - Voilà ! Elle t’a plu ...
... mon histoire ? me demande-t-elle féline. - Ça s’arrête là ? Comme ça ? - Oui ! Nous sommes partie comme des voleuses, le laissant avec le pantalon aux chevilles. - Ça a dû brouter sec la nuit ! Enfin sec… - Sois pas vulgaires avec mes souvenirs… Mais c’est vrai, nous étions surexcitées cette nuit-là. - Et ensuite ? Vous l’avez revu ? Vous êtes allé plus loin. - À plusieurs reprises cet été-là. Puis l’été suivant aussi. Mais non, nous ne sommes pas allez plus loin, enfin, à peine plus loin. Nous nous amusions à le faire éjaculer, chacune notre tour. Son sperme nous fascinait autant qu’il nous répugnait. Marie me courait après pour m’en barbouillé, la salope. Nous l’avons sucé aussi, mais pas jusqu’au bout. Enfin sauf une fois. Rogers n’a pas prévenu, et Marie a tout pris dans la bouche. Elle était furax. Nous n’avons plus vu Roger pendant deux semaines après ça. Plus tard, j’ai appris que pendant ces deux semaines, Marie l’avait revue, seule, plusieurs fois, pour le sucer encore, et avaler. - Et toi ? T’en avais pas envie ? - Pas à l’époque. L’odeur de son sexe, pas toujours clean, me répugnait. - Un crado. - Pas à ce point, mais nous nous voyions surtout en fin de journée, l’été, avant la douche. T’imagine ? Mais j’aimais faire monter le plaisir chez lui. Je me sentais puissante de le tenir par la queue. Mais ce que je préférais, c’était de me masturber devant lui, pendant que Marie le suçait ou le branlait. Le spectacle que je lui offrais, le rendait dingue. Je pouvais le ...