Résonance primitive 3
Datte: 19/04/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... lire sur son visage, mesurer l’impact. Il était comme une bête féroce au zoo, que je m’amusais à provoquer, à l’abri, de l’autre côté des barreaux. Il n’y avait que Marie pour le retenir. Mais parfois, je me suis surprise à espérer qu’il se jette sur moi, et qu’il m’enfonce sa grosse queue tout au fond de la chatte, pour y jouir. - Hé bin ! Pauvre gars. Enfin, pas vraiment. Pas pouvoir vous toucher… - Si, il nous touchait. Il nous mettait des doigts parfois. Il nous a même léché. Il n’était pas aussi doué que Marie, mais compensait son manque de technique par son appétit. Et il se servait beaucoup de son nez aussi. Son grooos nez. Si j’avais été encore vierge, il m’aurait dépucelé avec. - Un sanglier peut-être ? - Bon ! il faut que je te suce. C’était sa façon de clore son histoire ? J’étais pas contre. - Pourquoi il faut ? - Ta bouche sens ma chatte, et la mienne doit sentir ta bite. C’est pour Damien. - Il te l’a demandé ? - Non. Mais il aime aussi mes initiatives. Elle me fait mettre debout face à elle, et je n’ai rien d’autre à faire que de subir. Elle baisse mon pantalon et mon boxer à mi-cuisse, regarde ma queue déjà au garde-à-vous, contente d’elle, et remonte sa bouche en un contact léger et électrique, le long de ma verge, comme pour s’en imprégner. - T’as pas le calibre à Dudule, mais t’en a l’odeur. Me dit-elle avec un sourire coquin, en arrivant au bout. - Oh ! je me suis lavé. - Oui ! Ce matin. - Tu préfères que je sente le gel douche à deux balles. Toi-même tu ...
... sens pas la savonnette. D’ailleurs, ça me ferait chier. Une chatte qui sens le savon, l’horreur ! - J’aime ton odeur. Elle me rend folle. J’avais la preuve sous les yeux. Elle me respirait autant qu’elle me goûtait. Elle était déjà en transe légère et me suçait en toute volupté, révélant en moi une grande gratitude et de la tendresse à son égard. Il y avait quelque chose d’émouvant dans ses pipes, quelque chose toujours à deux doigts de me faire pleurer. Deuxième interlude SMS. Aline sans sortir ma queue de sa bouche, attrape son téléphone et me le tend. « Serais là dans 5 minutes, bande de coquins ;) » À mon tour de cadrer. Aline prend la pose, fait la moue autour de mon gland, et joue la dépravée pour son homme. Je double la prise et elle sort sa langue, gourmande. J’envoie. - Il sera là dans 5 minutes. Qu’est-ce qu’on joue ? La prise en flag ? - Non, plutôt le signe qui ne trompe pas. Me répondit-elle, mon gland sur son menton. - C’est-à-dire ? - Tu jouis dans ma bouche. - C’est plutôt une dissimulation de preuve ça. - Fais-moi confiance. Dire qu’Aline aimait la bite, c’était ne pas vraiment la comprendre. Évidemment qu’elle en aimait le goût, l’odeur, la chaleur. Mais son appétit n’était pas vorace, comme celui de Laure. Elle se délectait du plaisir qu’elle procurait, du pouvoir entre ses lèvres, du pouvoir de son image, de son jeu. Sa bouche presque enfantine se joue de ma queue avec une efficacité plus troublante que d’habitude. Je vois Manon dans leurs ressemblances, ...