Amélie-Garance
Datte: 20/04/2018,
Catégories:
f,
ff,
freresoeur,
volupté,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Masturbation
... en parle !— Je m’en suis doutée !— Bon, alors voilà, je le pose là et tu te débrouilles avec la photo…— Tu fais quoi ?— Je pars, je vais me doucher !— Je t’ai coupée, je suis lamentable— Non, non, de toute façon j’ai plus envie, alors…— Tu vas me laisser seule ?— Quoiqu’il soit arrivé, je t’aurais laissée seule, tu veux pas que je t’accompagne tant qu’on y est !— Pourquoi pas ? Nouvelle décharge dans le ventre. Bien profonde. Je suis une tarée. Je pense que mon seul souhait à cet instant est de partager le plaisir de ma sœur. Merde ! Je vais partir à l’école dans pas longtemps, nous sommes toutes les deux et j’ai envie depuis ce matin de me tripoter. Pourquoi hésiter ? Elle me propose, je dispose. Tant pis si c’est limite incestueux. Elle est majeure, vaccinée et consentante. Je rétorque : — Bah ok, pas de problème.— Tu… tu plaisantes ?— Non pas du tout, alors, tu nous la montres, cette photo ? Elle soulève l’écran de l’ordinateur, Bastien est là, souriant, bronzé. Elle clique deux fois. Son visage apparaît à taille réelle sur le moniteur. Elle s’assoit au bord de son lit et recommence son strip-tease de tout à l’heure. J’ai encore honte, je me sens toute gênée, mais je résiste. Son jean tombe sur ses genoux, elle remonte son débardeur et le coince sous son menton. Elle glisse ses doigts dans sa culotte et l’abaisse légèrement. Son sexe est couvert de toison brune. Le mien est rasé. Petite différence. Elle enfourne son index entre ses grandes lèvres et il disparaît ...
... totalement. Elle s’allonge sur le lit, avec une lenteur exagérée. Elle voudrait m’exciter qu’elle ne s’y prendrait pas autrement ! Quelle aguicheuse ! Je me sens toute chose. Lasse et, en même temps, tendue comme jamais je n’ai été. Je m’approche de son lit défait. Me pose à ses côtés. Mon cœur bat à 200 à l’heure. J’ai les mains moites, les jambes lourdes. La bouche sèche. Elle me dit : — Alors, Bastien t’émoustille ?— Bah… bah… non. C’est toi qui m’émoustilles. Lui je m’en fous. Il m’émoustillait au lit, mais là, franchement non !— Je te fais de l’effet, Mélie ? demande-t-elle d’un air que j’espère surpris et pas volontairement intéressé. Pourtant j’en doute.— Oui, oui. De te voir là, faire ça ! Je remonte ma chemise de nuit. Je suis toute nue dessous, bien entendu. Elle me regarde, sourit. Elle dit : — T’étais tranquillos toute à l’heure, toute nue comme ça ! N’y tenant plus, j’entame moi aussi un doux va-et-vient sur mon clitoris. Oh mon Dieu, que c’est bon ! Mon plaisir qui avait décru s’embrase à nouveau. Nous sommes là, toutes les deux, en train de nous masturber. Elle ferme les yeux. Oh mon Dieu, qu’est-ce que je fais là ? Ma main se promène entre mes grandes lèvres humides et chaudes, la pulpe de mon index titille ma cerise. Depuis le temps que j’attends le moment où, fondante, je me laisserai happer par le plaisir venu de loin. Mon Dieu, elle est ma sœur, qu’est-ce que je peux être idiote, comment la regarder en face dans nos prochains (rares) dîners en famille ? Et puis zut, ...