Amélie-Garance
Datte: 20/04/2018,
Catégories:
f,
ff,
freresoeur,
volupté,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Masturbation
... déjà vue toute nue non !— Oui évidemment, mais pas dans une situation comme ça !— Mais de toute façon je vais pas me mettre toute nue alors ça change rien, je peux me faire plaisir sans me déshabiller ! Elle éclate de rire, ce n’est pas drôle pourtant. Mais elle m’excite dans son naturel troublant. Oui, ma sœur m’excite. Je lui demande : — T’as jamais refait l’amour depuis ?— Depuis Ludovic ?— Oui ?— Non, jamais. Je t’aurais dis.— Pas forcément, des fois que t’aies été particulièrement inventive. Je suis sûre que si tu faisais l’amour, par exemple dans les toilettes des Galeries Lafayette tu me dirais pas. T’aurais honte de ce que je pourrais penser de toi, hein ? Je sais bien que tu veux que je t’imagine pépère au lit ! Elle riait encore plus à présent. Elle demande, secouée de hoquets joyeux : — Tu fantasmes méchamment de faire l’amour dans les toilettes des Galeries ou quoi ? Je n’ai jamais pensé à ça !— Bah, je te vois bien avec Ludovic dans les toilettes pour dames !— T’exagères franchement, j’ai fait l’amour deux fois dans ma petite vie merdique. Deux fois cette nuit-là avec Ludo ; tout ça pour me faire plaquer et ne plus connaître ça !— Je te plains pas ! Ça fait encore que deux mois ! Moi, imagine un peu ! Six mois avec mon oreiller, mes doigts ou la douche comme seuls compagnons ! Le ton de la plaisanterie était léger. Elle devient pourtant rouge. Elle demande, troublée : — Ton oreiller ?— Oui, mon oreiller ! Tu t’es jamais, machinalement, frottée contre ton ...
... oreiller ?— Bah non. Non vraiment pas !— Tu rates quelque chose ! C’est vachement bon, tu le roules entre tes cuisses et voilà, ça marche !— J’essayerai une prochaine fois ! À présent elle a les joues en feu. Moi-même je me sens brûlante. Des milliers d’aiguilles foisonnent dans mon ventre. Oh mon Dieu. Je dis : — Bon, chérie, maintenant tu te barres. J’étais tranquille, j’avais mis la musique, la porte était fermée et j’avais une demi-heure ! Et te voilà pour foutre la merde !— Je vais pas te déranger, je vais me faire toute petite !— Toute petite, toute petite, comment veux-tu te faire toute petite avec tes doigts entre tes cuisses ! Tu plaisantes ! Et puis, de toute façon, même toute petite, je peux pas me faire plaisir tranquillos ! À ce moment-là, elle se retourne sur le dos, dans un grand froissement de tissu. Elle est jolie, ma sœur. Elle mesure un mètre soixante-neuf, pèse soixante kilos. Elle a les cheveux brillants, noir corbeau et très lisses. Ils lui arrivent un peu au-dessus des épaules. Elle a des yeux très bleus. Un petit nez retroussé, légèrement épais au niveau de ses narines. Des lèvres épaisses aussi, très jolies et un rien aguicheuse. Je suis exactement la même à l’exception d’un grain de beauté sur la lèvre inférieure. Chose inédite mais plaisante selon mes ex-petits-amis… Elle est là sur mon lit, dans son débardeur violet moulant, son jean court qui dévoile son nombril. En chaussettes blanches. Je ne vais pas me mettre à désirer ma sœur ! J’ai presque honte de ...