Un père admirable (13)
Datte: 20/04/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... accrochés aux miens, j’enlevai discrètement ma main de sous ma jupe. — Dommage que je ne puisse pas ajouter un point pour la présentation, lança-t-il en notant ma copie avec mon stylo rouge. Mon professeur la posa devant mes yeux. Un beau dix-neuf sur vingt ornait mon devoir. Je ressentis une immense fierté. Ses yeux brillants admiraient mon décolleté et mes cuisses. Son regard m’intimidait, je rougissais, tremblante et frustrée par l’interruption de mon plaisir. La quinzaine de jeunes filles que comptaient mes camarades aurait donné n’importe quoi pour qu’il les regarde ainsi. — Jesse, ça va ? demanda une de mes copines. — Oui. — Tu peux sortir, lança le professeur. — On t’attend dehors. Je sortis, la tête bouillonnante et la minette dégoulinante. — Pourquoi tu es toute rouge ? demanda Chloé. Je ne pouvais pas lui dire que le professeur m’avait surprise la main dans la culotte. J’avais même très envie de l’y glisser de nouveau... Nicolas, mon petit ami, passa subitement son bras autour de ma taille. — Salut, toi ! lança-t-il en embrassant mes lèvres. C’est drôle comme il ne m’avait pas manqué du week-end. Ma bouche ne se tendit pas vers la sienne pour lui rendre son baiser. — Rien de grave, répondis-je à ma copine. — Tu es sûre ? On aurait dit que tu pleurais. Nous sortîmes dans la cour du lycée pour nous réfugier à notre endroit de prédilection. Je m’allongeai sur l’herbe, mon sac de cours sous la tête. Le soleil caressait ma peau, la réchauffant comme les bras et les ...
... lèvres de mon père l’auraient fait. Cette pensée m’arracha un langoureux soupir. Je retirai vivement mon bras des doigts de Nicolas qui l’effleuraient. Il me regarda, surpris. — Tu aurais pu m’envoyer un texto ce week-end, dit-il. — Désolée, je n’ai pas eu le temps de penser à toi. — Ah, j’aurais pourtant cru que… sourit-il ; un désir brûlant enflammait ses pupilles. Je devinai qu’il repensait au moment où je m’étais peloté les seins devant lui. — En tout cas, je n’ai pas arrêté de penser à toi. — Ça s’est bien passé avec ton père ? demanda Stéphanie. Elle repoussa une anglaise dorée qui cachait son œil bleu profond. Je souris, le cœur battant et des papillons dans le ventre. — Oui… Mes copines se regardèrent, surprises par mon ton sensuel. — Enfin, Nicolas était superstressé ! corrigeai-je brusquement. Mais la rencontre s’est bien passée. — Qu’est-ce qu’il a pensé de moi ? — Que tu allais sûrement me faire souffrir, dis-je lentement. Il me lança un regard penau. — Pourquoi ? demanda Virginie à sa place. Ses petits yeux verts me fixaient intensément. — Parce qu’il veut juste coucher avec moi. — Si c’est que ça, ce n’est pas bien grave, déclara Chloé. Je levai les yeux au ciel et attrapai mon portable pour envoyer un texto à mon père : « Tu me manques. Je n’arrête pas de penser à toi ; j’ai envie d’être dans tes bras et de t’embrasser encore. J’ai eu 19/20 en histoire. Le prof a corrigé mon devoir devant moi. » — C’est à qui que tu envoies un texto en souriant comme ça ? demanda ...