1. Les marins (1)


    Datte: 21/04/2018, Catégories: Gay

    Je pris un jour le bateau pour faire le trajet de Tunis à Gênes. J’étais obligé d’emprunter ce moyen de transport, car je rapportais ma voiture en France. Nous quittâmes Tunis en début de soirée. Après avoir pris un repas au restaurant, je me dirigeai vers ma cabine. J’avais fait un long trajet en voiture, dans la journée pour rejoindre Tunis, et avais besoin de sommeil. Par manque de chance, je trouvai mon compagnon de cabine, un tunisien, déjà endormi, poussant des ronflements sonores. Je me mis en petite tenue, tee-shirt et petit short, et essayai de trouver le sommeil. Pas facile, à côté d’un ronfleur. De plus, on était en été, et il faisait une chaleur étouffante dans la cabine. Enervé, je me levai, et sortis, toujours en tenue légère, prendre l’air sur le pont. En arrivant, je trouvai trois jeunes marins italiens, dans leurs uniformes blancs, contre le bastingage. Non loin de là, il y avait une rangée de transats, et je m’allongeai sur l’un d’eux. J’observai distraitement les marins qui bavardaient. Deux d’entre eux étaient adossés au bastingage, mais le troisième, celui du milieu, était accoudé, légèrement penché en avant. De ce fait, il avait le cul légèrement arqué en arrière, et son pantalon blanc laissait deviner une croupe appétissante. Il me sembla qu’un des deux autres marins m’observait de façon discrète. Et je le vis passer légèrement la main au cul du marin du milieu. Celui-ci repoussa la main en rigolant. L’autre revint à la charge, et posa à nouveau la main ...
    ... sur le cul de son camarade. Cette fois-ci, le marin ne repoussa pas la main. L’autre lui chuchota quelque chose à l’oreille, et le marin du milieu, tourna son visage vers moi. Je sentis ma bite bien dressée dans mon short. Le marin du milieu quitta alors ses camarades, et passa devant moi, en me regardant. Quand il m’eût dépassé, je le vis continuer sa marche, d’une façon chaloupante, faisant bien ressortir les ondulations de ses muscles fessiers, sous son pantalon. Je me levai, et le suivis, à quelque distance. Je le vis ouvrir une porte et entrer dans une coursive. Le temps que je le rejoigne dans la coursive, je le trouvai, toujours marchant, mais ayant eu le temps d’ôter son pantalon. Le haut de son uniforme ne couvrait que partiellement ses fesses. Il avait un petit cul splendide. Il se retourna, pour vérifier que j’avais bien suivi, et me fit un large sourire. Il entra dans une cabine. Je l’y rejoignis peu après. Je le trouvai, me tournant le dos, jambes bien écartées, ses bras et sa tête appuyés sur la couchette du haut. Dans cette position, il dévoilait entièrement son cul. J’attendis un instant. Il ne bougeait pas. Je m’approchai et lui caressai doucement les fesses. Il se laissait faire, passivement. Je mouillai un de mes doigts de salive, et l’introduisit dans son trou du cul. Je le trouvai bien accueillant. Il devait se faire sodomiser régulièrement. Je ressortis mon doigt, lubrifiai ma bite de salive et la présentai à son trou du cul. Ça rentrait facilement, et, ...
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