Les marins (1)
Datte: 21/04/2018,
Catégories:
Gay
... froc et de son slip, et s’allongea sur moi. Il frotta d’abord sa queue entre mes fesses, puis, la mouillant de salive, me pénétra, sans difficultés, après mon entrainement de la nuit passée. Je poussai un petit soupir de plaisir, auquel il répondit en accélérant le rythme de sa pénétration. J’entendais les grincements du lit, que j’accompagnais de grognements appréciateurs. A l’allure où il allait, il ne tarda pas à jouir. Un rapide ! Il me quitta, en me fourrant deux doigts dans le cul, en signe d’au revoir. Je sommeillai un peu, puis descendis au bar. Peu de monde à cette heure. Trois ouvriers et deux marins. Je m’accoudai au comptoir. Il m’était venue une idée vicieuse en tête. Je demandai au patron où je pouvais trouver une tenue de marin. Il me sourit et m’indiqua un magasin tout proche. Je demandai un uniforme blanc, et partit l’essayer. Délibérément, je ne mis pas de slip sous le pantalon. Je me regardai dans la glace. Le tissu épousait parfaitement les formes de mon cul et de mes cuisses. Je fis emballer mes affaires, et regagnai l’hôtel, mes fesses bien en valeur dans mon pantalon blanc. Le patron me fit des compliments sur ma tenue. La clientèle était la même : les trois ouvriers et les deux marins. Le patron me chuchota qu’il les connaissait bien. Des mecs venus rechercher une rencontre, pour se faire baiser ou, au contraire, enculer un mec. Il leur louait la chambre à l’heure. Avec un sourire vicelard, il me demanda si je serais d’accord pour les exciter un peu. ...
... Après tout, j’étais là pour ça, et j’acceptai. Le patron me fit passer à côté de lui derrière le bar. Là, il me plaqua contre le comptoir, défit mon froc, qui glissa à mes chevilles. Il passa derrière moi, se mouilla la bite de salive, et se mit à m’enfiler. Je voyais les regards narquois et excités des ouvriers et des marins. A notre position et aux mouvements du torse du patron, il était évident qu’il m’enculait, le bas caché par le comptoir, mais au vu et au su de la clientèle. Quand le patron eût terminé, je réajustai mon froc sur mes fesses, sortis de derrière le comptoir, passai devant les clients, et pris soin de monter lentement l’escalier, car c’était de là qu’ils avaient la meilleure vue de mon cul. Après le repas du soir, je demandai au patron où aller faire une « promenade digestive ». Il comprit tout de suite mon intention. Il me dit de descendre vers le port, tout près, puis de tourner à gauche vers les docks, beaucoup moins éclairés. C’était en fait tout près. Je n’aperçus que deux marins, appuyés à une rambarde, et une dizaine d’ouvriers, probablement des dockers, en train de déambuler. Je m’installai contre la rambarde, à quelque distance des marins, sous un lampadaire, et m’accoudai, cul arqué en arrière. Un mec passa derrière moi, en effleurant mes fesses du dos de sa main, comme par inadvertance. Je ne réagis pas. Il rebroussa chemin, et, cette fois, me mit la main franchement au cul. Je défis mon pantalon qui glissa à mes chevilles. L’homme fût prompt à ...