1. Les marins (1)


    Datte: 21/04/2018, Catégories: Gay

    ... en douceur, je la lui mis bien à fond. Il eût, enfin, une réaction : un long soupir de plaisir. Je me mis à l’enculer, lentement, tout en douceur, mais bien à fond à chaque fois, mes couilles battant contre le bas de son cul. J’entendis alors la porte de la cabine s’ouvrir, et vit entrer les deux autres marins. L’un d’eux s’agenouilla derrière moi. Comme j’avais baissé mon short pour enculer le marin plus commodément, j’avais le cul à l’air. Le marin se saisit de mes fesses, les écarta et se mit à me lécher lentement la raie du cul. Il faisait des arrêts sur la rondelle, en appuyant avec la langue, comme pour pénétrer. Pendant ce temps, le troisième marin s’était hissé sur la couchette sur laquelle s’appuyait le marin que je baisais. Il sortit sa queue et l’autre la happa dans sa bouche et le suça. Le mec derrière moi s’était redressé, et appuyait sa bite contre mon trou de balle. Comme il m’avait copieusement lubrifié en me léchant, ça rentra tout seul. D’un commun accord, implicite, nous nous sommes enculés à un rythme lent, pour bien faire durer les choses. Après nous être rhabillés, ils m’invitèrent à prendre une bière au bar, sur le pont. Ils parlaient un peu français, moi un peu italien, et nous pûmes communiquer. Je leur dis être de retour de Tunisie, en route pour la France, à petite vitesse, car j’étais en vacances. Ils me demandèrent si j’étais « amateur de marins ». Je leur répondis que, depuis de soir, je me sentais amateur de marins... italiens ! Ils ...
    ... s’esclaffèrent et l’un d’eux me griffonna une adresse sur un bout de papier. C’était celle d’un hôtel modeste à Gênes, près du port, fréquenté par les marins et ... les amateurs de marins ! Je le remerciai et les quittai. Fourbu, je m’endormis immédiatement sur ma couchette malgré la chaleur et les ronflements de mon voisin. Le lendemain matin la sortie du navire, en voiture, la douane et la police furent d’une lenteur exaspérante. Je n’en sortis qu’à une heure de l’après-midi, pour me précipiter dans une pizzeria. Le serveur me renseigna obligeamment, avec un petit sourire, sur la localisation de mon hôtel qui était tout près. Je déduisis du sourire que la réputation de l’établissement était bien connue. Je garai ma voiture dans un parking longue durée, et muni de quelques affaires, gagnai l’hôtel. Le patron, derrière son bar était un petit italien grassouillet, dans la quarantaine. Il me fit un large sourire, quand je lui précisai que son hôtel m’avait été recommandé par des marins. Sur ce, je pris les clefs de la chambre et lui annonçai que j’allais faire une petite sieste. Bien entendu, je ne fermai pas la porte à clef, me déshabillai complètement, et me jetai à poil, à plat ventre sur le lit, cuisses bien écartées. Je ne tardai pas à entendre frapper à la porte. Je ne répondis pas. La porte s’entrouvrit et, entre mes yeux mi-clos, je vis le visage du patron. Ma tenue, et ma position étant sans équivoque, il entra en refermant la porte à clef. Il ne tarda pas à se débarrasser de son ...