1. Ne nous soumets pas à la tentation


    Datte: 21/04/2018, Catégories: fhh, extracon, Collègues / Travail profélève, école, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme fsodo, init,

    ... que je n’ai jamais été frivole. Tu as été mon seul homme, ma seule aventure. Je suis aussi inexpérimentée qu’une gamine.— Ne comprends-tu pas que c’est justement cela qui est irrésistible chez toi, et qu’il ne faut rien y changer ? Laisse-moi te guider, ma chérie, abandonne-toi en toute confiance à mes conseils, et tu verras ce qui t’attend, ce qui nous attend… Tu n’as encore rien vu. Je sentis Nathalie se blottir contre moi et me serrer très fort. Elle en apprenait plus depuis 24 heures sur le puits sans fond de l’érotisme qu’en dix années de mariage. Un constat qui, au passage, pouvait très bien se retourner contre moi : que de temps perdu ! Mais elle était encore si jeune, si friable… « Et par quoi dois-je commencer, ô grand initiateur ? ironisa-t-elle… — Eh bien, par exemple, tu retournes aujourd’hui au lycée dans la même tenue qu’hier soir… Ta petite robe noire, tes sandales… Ce sera un signe de connivence entre vous. Une manière de lui dire, tacitement : « Je sais que je t’ai plu dans cette tenue, hier soir, et c’est pour toi que je la porte encore aujourd’hui… »— Mais tu n’y penses pas : c’est une tenue trop sexy pour être portée un jour ordinaire de lycée ! Même mes élèves ne vont pas en croire leurs yeux : ce sont des classes de garçons, n’oublie pas, et ils ne sont pas tous captivés par la pensée d’Aristote au point de ne pas remarquer le changement ! Et si on me fait la moindre remarque, je n’ai plus qu’à rentrer sous terre !— Justement, tu es adorable quand tu ...
    ... rentres sous terre. On a envie d’aller t’y rejoindre pour te violer…! Allez, file ! Tu vas être en retard, dis-je en lui tapotant les fesses.— Tu es odieux… ! soupira-t-elle, résignée. Elle se leva, je la vis nue, exquise, se diriger vers la salle de bain, ému de voir sa généreuse croupe se balancer harmonieusement au rythme dansant de sa marche, et je ne puis m’empêcher de me demander, à cet instant, si j’avais le droit d’agir ainsi. Mais ce que je vivais depuis la veille au soir devait être semblable à un long moment d’ébriété. Lorsqu’elle revint de la salle de bain, elle se dirigea, bonne élève, vers son armoire, pour y reprendre sa robe moulante ; mais lorsqu’elle tendit la main vers sa petite culotte, j’eus une inspiration subite. Je la précédai, saisit le léger tissu : « J’oubliais, une précision : pas de slip aujourd’hui ! » — Comment !? Mais tu es dingue ! Non, là, je ne marche plus. Je n’ai jamais fait une chose pareille ! Tu n’as pas le droit ! Elle s’était jetée sur moi, cherchant à attraper le slip que je tenais fermement, dans mon dos. La situation était presque drôle, elle rappelait des espiègleries enfantines ; mais elle commençait à devenir un peu scabreuse aussi, car Nathalie, nue, se collant à moi, ne manqua pas de ressentir à mon contact la montée de mon désir. « Tu tiens absolument à manquer l’école ? », lui lançai-je d’un air délibérément lubrique. « D’ailleurs, comme tu t’es injustement révoltée contre moi… je te prive aussi de soutien-gorge ! » Elle eut ...
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