1. Ne nous soumets pas à la tentation


    Datte: 21/04/2018, Catégories: fhh, extracon, Collègues / Travail profélève, école, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme fsodo, init,

    ... l’air encore plus paniquée : « Philippe, réfléchis, je fais du 85 D ! Si mes seins se baladent sous ma robe, tout le monde s’en apercevra, tout le monde ! Je t’en prie, c’est ma réputation au lycée qui est en question… » Mais j’étais devenu inaccessible à ce genre d’argument raisonnable. « Allons, ta robe noire a un bon maintien, elle n’est pas transparente, seuls les observateurs avertis s’en rendront compte… Et puis, c’est le dernier jour… Au pis, on mettra ça sur le compte des grandes chaleurs, et tout sera oublié à la rentrée ! » Elle me fixa, mi-révoltée, mi-consentante, admettant sa défaite. Elle retourna à son armoire, enfila sa robe, se pencha pour enfiler ses sandales. Je ne me retins pas de me faufiler derrière elle, passant ma main sur ses fesses : « Hmm, c’est bon de te caresser en sachant qu’il n’y a rien sous la robe… » Nathalie se cambra, ronronna presque, me traita d’obsédé criminel et de criminel… J’appréciai le compliment et la laissai partir. Lorsqu’elle rentra, sept heures plus tard, je n’en menais pas large, à vrai dire. Allais-je me faire injurier, avait-elle eu le temps de reprendre ses esprits ? Son visage me rassura. On pouvait y lire bien des sentiments contradictoires, mais pas la colère… Tout d’abord, je ne l’interrogeai pas sur ses sensations de la journée, attendant qu’elle me les livre d’elle-même. Cela ne manqua pas, juste avant le dîner. Allongée sur le lit, elle m’avait confié ses pieds, délicieusement chauds, que je massais avec tendresse, ...
    ... en les embrassant quelquefois, pour me soûler de leur parfum ; dans la position où j’étais, assis sur le bord du lit, j’entrapercevais aussi, parfois, dans les profondeurs de sa robe, l’ensemble ravissant formé par ses lèvres et la naissance de ses fesses. « C’était terrible, commença-t-elle. J’ai commencé à être confuse dès que je suis entrée dans le wagon du métro. Pourtant, il n’y avait pas de raison. Il y avait d’autres femmes bien habillées. Mais c’était comme si j’imaginais que tout le monde savait. Il suffisait qu’un passager m’effleure pour que je me mette à frissonner. Quand je suis sortie du métro, ç’a été un vrai soulagement, mais de courte durée. Une fois franchi le seuil de ma salle de classe, j’ai compris dans quel piège tu m’avais attirée. Tu sais bien que d’habitude je porte des robes très sobres, et le plus souvent des pantalons. Et voilà que tout à coup ces quinze grands gaillards voient arriver leur prof de philo dans une tenue de soirée : une robe moulante et courte, bras nus, épaules nues, sandales à talons et pieds vernis, sans parler de ce qu’ils ne voyaient pas mais que les plus avertis pouvaient deviner… Imagine une seconde ! Est-ce une tenue pour un cours de philo dans une Terminale technique ? — J’imagine très bien, en effet…, répondis-je, narquois. Ma femme, sage professeur du lycée G., se transforme en bombe sexuelle…— Ne te moque pas, c’est méchant… Dès que je suis entrée, j’ai perçu leurs regards… à la fois éberlués, ravis, et indécents. Au bout ...
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