1. Ne nous soumets pas à la tentation


    Datte: 21/04/2018, Catégories: fhh, extracon, Collègues / Travail profélève, école, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme fsodo, init,

    ... de trois secondes, j’étais rouge comme une pivoine. Tu sais que, malgré mon teint mat, je rougis très vite… Je voyais chez les uns un sourire de connaisseurs, chez les autres un regard qui me scrutait de la tête aux pieds. Et dès que je marchais, c’était l’horreur ! Je sentais mes seins se balancer, j’essayais de marcher très lentement, pour qu’ils n’y voient que du feu, mais je suis sûr que la moitié des élèves a compris. Pendant tout le cours, je les ai vus parler à l’oreille de leurs voisins, échanger des petits billets, et, crois-moi, tu as beau t’être souvent moquée de mon ingénuité, j’ai très bien compris que ce n’était pas pour commenter les subtilités de la dialectique de Hegel…— As-tu perçu certaines de ces paroles ?— Non, tout était dit à voix basse, mais c’était terrible, c’était comme un murmure continu… Et moi, je n’ai jamais tant buté sur les mots qu’aujourd’hui, ma pensée était constamment parasitée par ces impressions… Mais ce n’était pas le pire… Le pire, c’était quand je circulais dans les rangs… Dès que j’avais dépassé une rangée, je savais qu’ils étaient juste derrière moi, à se rincer l’œil ; je le sentais, ils mataient mon dos, mes jambes, et moi je n’avais qu’une terreur, c’est qu’ils devinent que j’étais nue, absolument nue sous ma robe noire. Je sais bien que c’est quasiment impossible, que ma robe noire n’est pas transparente, qu’ils ne pouvaient sans doute même pas imaginer que j’aurais cette audace, mais je ne sais pas pourquoi, je ne pouvais ...
    ... pas m’ôter de l’esprit que certains savaient, qu’ils avaient compris…— Peut-être parce qu’au fond de toi, tu désirais qu’ils le sachent…— Ne dis pas de sottise. J’étais horriblement gênée. Je passais parmi eux et je me sentais exposée, à deux doigts d’être prise, violée par tous ces jeunes mâles… Mais ça non plus, ça n’était pas le pire…— Le pire, alors, c’était quoi ?— Tu me promets que tu ne m’en voudras pas, et que tu ne te moqueras pas de moi non plus ? Après tout, c’est pour toi que je me prête à cette folie…— Promis, ma chérie, rien de ce que tu me diras ne peut te desservir…— Tout à coup, alors que je passais dans les rangs, au milieu de tous ces voyeurs, j’ai senti comme quelque chose d’humide sur une de mes cuisses. D’abord je me suis demandé ce que c’était, et puis j’ai compris l’horreur de ce qui se passait… La situation avait fini par m’émoustiller, j’étais tout humide, et comme j’étais sans protection, cela commençait à couler !— Je te crois sur parole mon amour…, ne pus-je m’empêcher d’ajouter. Car, de là où j’étais, tout en lui continuant à lui dorloter les petons, je voyais aussi, au moment même où elle racontait cette histoire, ses lèvres devenir luisantes sous l’effet de la lubrification… S’en rendait-elle compte ? Je ne le sais, mais je trouvai la situation diaboliquement excitante !— Dès que je m’en suis rendu compte, je me suis hâtée vers mon bureau et je me suis assise pour éviter la catastrophe. Peux-tu imaginer le scandale que cela aurait fait ? Les ...
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