Ne nous soumets pas à la tentation
Datte: 21/04/2018,
Catégories:
fhh,
extracon,
Collègues / Travail
profélève,
école,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
fsodo,
init,
... moqueries des élèves ? Les graffitis obscènes sur les tables, du genre : « Nathalie F. ne porte pas de culotte et elle mouille devant ses élèves ! » J’ai attendu la pause et je me suis précipitée aux toilettes pour m’essuyer. À ce moment, je devais te maudire de m’avoir attirée dans ce guet-apens !— Tu t’es seulement essuyée… ? La question était perfide, j’en conviens. — Que veux-tu dire ?— Aux toilettes, t’es-tu contentée de t’essuyer ? Tu semblais diablement excitée et n’importe qui dans cette situation…— Non, crapule, dit-elle, mi-furieuse d’avoir été percée à jour, mi-joueuse… Non, je ne me suis pas seulement « essuyée », si ça peut t’amuser… J’étais tellement excitée que je me suis caressée, en me mordant le bras pour ne pas hurler… L’image de ma femme se masturbant dans les toilettes de son lycée parce qu’elle avait senti sur elle le désir de tous ses élèves me mettait dans tous mes états. — Tu vas continuer à me raconter ta journée au lycée, mais pas comme ça…, lui dis-je. Relève ta robe, chérie, et mets-toi sur le ventre.— Veux-tu que je l’enlève complètement ?— Non, surtout pas. J’ai envie de te prendre comme un élève de ton lycée aurait voulu te prendre, dans les toilettes, ou dans la salle de classe après les cours, à moitié nue, à moitié vêtue. Relève ta robe, j’ai une envie folle de ton petit cul… Le récit qu’elle avait commencé avait constitué un préliminaire idéal. Nathalie m’attendait, toute prête, tout ouverte… La sodomie entre nous était relativement rare, ...
... mais j’en étais fou. À vrai dire, si je n’en abusais pas, c’est que j’avais plus de mal à me contrôler dans son anus que dans son sexe : l’intensité de mon plaisir était telle qu’il m’était arrivé trop souvent d’exploser trop vite en elle, sans lui avoir donné le temps de jouir… Cette fois, cependant, j’étais bien décidé à faire durer l’expérience. Elle ne ressentit aucune douleur lors de la pénétration ; un simple petit gémissement approbateur vint me signifier combien elle appréciait ma présence en son intimité. J’étais entièrement étendu sur elle, délicieusement emboîté, les mains sur ses seins généreux encore couverts par la robe, laquelle était simplement remontée sur les hanches pour laisser les fesses à découvert. — Continue, ma chérie, raconte la suite de ta journée… Elle mit quelques secondes pour reprendre son souffle et la maîtrise de son discours, puis poursuivit : « Après la pause, j’étais un peu revenue à moi. Quand je suis revenue en classe, pourtant, j’ai encore eu peur que quelqu’un devine ce que j’avais fait dans les toilettes, et je pense aussi que le plaisir que j’avais pris avait dû s’imprimer sur mon visage, que je devais avoir les traits un peu tirés. J’ai fait cours comme si de rien n’était, mais en restant assise. Oh, oui, chérie, c’est bon de te sentir en moi… Je suis ta femme… Je bougeais très peu mon sexe, mais je le laissais se dilater périodiquement dans la caverne chaude de son anus ; je baisotais son cou et son visage rougissant – qui, dans ces ...