Ne nous soumets pas à la tentation
Datte: 21/04/2018,
Catégories:
fhh,
extracon,
Collègues / Travail
profélève,
école,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
fsodo,
init,
... moments-là, m’inspire plus que du désir : une tendresse infinie – tandis qu’elle continuait son récit, entrecoupé de soupirs et de gémissements… — Tu as des élèves que tu trouves séduisants… ? Tu m’avais parlé d’un certain Tristan ? Il a réagi de manière particulière ?— Il prenait moins de notes que d’habitude… Il me regardait davantage, oh… j’aime ça, Philippe.— Imagine s’il t’avait suivie aux toilettes, et qu’il ait relevé ta robe, caressé les fesses…— Arrête, je t’en prie…— Cela ne me gêne pas, tu sais, d’imaginer ses jeunes mains sur tes fesses, elles sont si belles, elles auraient bien mérité cet hommage… Imagine que ce soit lui qui ait planté sa verge dans ton merveilleux petit cul…— Laisse-moi, laisse-moi, oh ! continue à rester comme ça, je t’en prie…— Et la suite de la journée. Raconte-moi la suite de ta journée… Tu as vu Christian, n’est-ce pas ?— Oui, je l’ai vu, j’ai mangé avec lui à la cantine…— Vous étiez tous les deux seulement ?— Oui, et je rougissais tout le temps… Il ne m’a fait aucune remarque sur mes habits, mais il me déshabillait du regard… Il parlait de tout et de rien, mais je voyais ses yeux loucher sur ma poitrine… Lui, je peux te l’assurer, il a tout de suite compris que je n’avais pas mis de soutien-gorge.— Et toi, tu pensais naturellement : « S’il s’avait que mes fesses aussi étaient nues, que mon sexe aussi était nu, sans protection… » Tu mouillais, n’est-ce pas, quand il te regardait, quand il plongeait son regard dans ton décolleté ?— Oh, je ...
... t’en prie, arrête, non, continue… ! Oui, j’étais contente qu’il me regarde… Hmm, oui… Et j’ai même été un peu coquine, ça va te plaire…— Qu’est-ce que tu as fait ?— D’abord, à la cantine, quand il a fallu prendre une carafe d’eau un peu loin, je me suis penchée plus que nécessaire. Je voulais qu’il ait une vue plongeante sur mes seins, je voulais être sûre qu’il avait bien compris que je n’avais rien ; je suis restée facilement deux ou trois secondes de trop pour lui permettre d’en profiter…. Hmmm, vas-y, mon chéri, entre bien en moi… Ce n’est pas bien, n’est-ce pas ? Je voulais qu’il meure d’envie de saisir mes seins à pleines mains… Hooo… « Et puis, hooo…, et puis… de retour avec lui dans la salle des profs… Nous étions seuls… Tu sais qu’il m’avait fait hier soir des compliments sur mes pieds… Eh bien (hmm, c’est trop bon chéri, continue à être en moi, tranquille, dans ta petite femme…), eh bien, je me suis assise dans la salle des profs, j’ai simulé une grande fatigue, et j’ai ôté mes sandales, j’ai un peu massé mes pieds devant lui, comme tu aimes, puis j’ai allongé mes jambes sur une autre chaise. Tu sais, tu m’as toujours dit que tu adorais cette position, où tu voyais tout de mes petits pieds… Je voulais lui en faire profiter, comme tu m’y avais encouragé, je fais ça pour toi, chérie, je suis ta femme.. fidèle, oh, mon Dieu, comme c’est bon ! Tu aimes mon cul, mon chéri, tu aimes mes fesses ? — J’aime tout de toi mon amour. Et Christian, il a pu s’en donner à cœur joie ...