Florence et moi (7)
Datte: 24/04/2018,
Catégories:
Hétéro
... jus. Dire qu’elle était excitée relevait de l’euphémisme, elle mouillait probablement depuis des heures. Je ne me fis pas prier pour dégainer mon sexe et, après l’avoir passé doucement sur les lèvres trempées de ma belle pour l’imprégner de son nectar, l’enfoncer d’un coup sec dans l’antre des plaisirs. Flo imposa immédiatement la cadence en donnant de violents coups de reins et je lui emboîtai le pas en faisant claquer aussi bien mes bourses que la paume de ma main sur ses fesses, provoquant chez elle des gémissements de plus en plus sonores qu’elle ne cherchait manifestement pas à réprimer. Nous étions trop excités l’un comme l’autre, il ne nous fallu pas deux minutes pour jouir. Flo fut la première, ses cris, parfaitement synchronisés aux contractions de son vagin, me firent venir à mon tour. Je me retirai pour déposer un sperme épais et abondant dans la raie de ses fesses. Ma brune se rhabilla sans chercher à s’essuyer. C’était un truc qu’elle adorait faire, garder ma semence contre sa peau tant que cela ne nous trahissait pas. Elle se tourna ensuite vers moi pour déposer un doux baiser sur mes lèvres. « Putain, ça fait du bien » fit-elle. « M’en veux pas, je vais me coucher, ça m’a épuisée. » Je lui mis la main aux fesses, tâtait ce merveilleux postérieur. « Pas de soucis, je te rejoins vite, je suis claqué aussi » répondis-je. Quant à savoir pourquoi nous n’avions pas baisé directement dans notre chambre, ne me demandez pas, les voies des gens bourrés sont ...
... impénétrables... contrairement à celles de ma Florence. Nous sortîmes donc du bureau ensemble, Flo se dirigeant vers notre chambre et moi vers la cuisine pour prendre un verre d’eau. Quelle ne fut pas ma surprise d’y découvrir Ihlem, notre hôte, qui m’adressa un sourire goguenard. Ihlem, c’était le genre de filles qu’on ne peut pas imaginer sans quelques kilos de trop, mais que cette graisse rend terriblement sexy. Elle avait de grosses fesses, larges, à la rondeur infernale, et une poitrine du même acabit. Son visage de beurette était diablement joli, avec un grain de beauté près de la bouche et des yeux qui criaient famine dès qu’elle voyait un beau mec. A peu près tous les mecs de notre groupe de potes avaient essayé de se la faire, moi compris, mais personne n’avait réussi. « C’est toi qui a fait gueuler Florence comme ça ? » demanda-t-elle tandis que je me servais un verre d’eau. Bien malgré moi, je sentis mes joues s’embraser, en même temps qu’une boule froide dans ma poitrine. Ilhem connaissait ma copine, elle pouvait tout balancer ! « Non, c’est pas moi » mentis-je. « J’avais même pas capté que c’était elle qui criait comme ça. » Ilhem sourit de plus belle. « Bien sûr. D’ailleurs c’est pour ça que je t’ai pas vu sortir du bureau avec elle. » Je déglutis difficilement. J’étais dans une merde monstrueuse. « Le dis pas à Cécile » suppliai-je « je suis mort sinon. » Elle fit un pas vers moi, me toisa. Elle était plus grande et large que moi, et je dois avouer que cette vision me fit ...