1. Florence et moi (7)


    Datte: 24/04/2018, Catégories: Hétéro

    ... un peu peur. « Ça, fallait que tu y penses avant de tringler Florence sous mon toit, mon coco. » « S’il te plaît Ilhem... » Elle m’attrapa assez méchamment le poignet. « Y a pas de s’il te plaît qui tienne, t’as merdé, ça se paye. » J’étais désespéré, je sentis les larmes me monter aux yeux. C’était foutu, je venais de me faire prendre. J’avais joué, et j’avais perdu... Les conséquences, je n’étais pas prêt à les subir. Ilhem tira sur mon bras, m’entraîna à sa suite, je me laissai faire dans un état second. Avant de l’avoir réalisé, j’étais dans sa chambre et la beurette planta son regard dans le mien. « On va faire court » dit-elle « je peux dire quand je veux à Cécile que tu sautes Florence, alors tu vas m’écouter bien attentivement, ok ? » Je hochai la tête. Quel choix avais-je de toute façon ? « Le deal est simple : tu vas me bouffer la chatte. Si tu me fais jouir comme t’as fait jouir l’autre pute, je dirai rien. Sinon, je balance tout à ta meuf, c’est clair ? » J’acquiesçai et Ilhem, avec un grand sourire satisfait, alla s’installer sur son lit, où elle ôta son short et son bas de maillot. Sa vulve m’attendait, couronnée d’une crinière de poils noirs, et, soyons franc, aussi fantasmagorique que fut la beurette, je n’avais absolument pas envie de lui « bouffer la chatte. » Mais je n’avais pas le choix, alors j’allais m’installer entre ses cuisses bronzées et enfouis mon visage dans son intimité. Je passai une langue timide sur sa fente humide. Elle avait un goût fort, ...
    ... musqué, un peu désagréable au début, sans doute aussi parce que je n’étais pas excité. « C’est pas comme ça que tu vas me faire jouir » cracha la brunette. Quand faut y aller, faut y aller, n’est-ce pas ? Je plongeai la langue dans sa grotte, remontait pour écarter ses lèvres, retournai puiser à la source. Mais ce n’était pas assez pour Ilhem, qui m’attrapa les cheveux et me força à remonter un peu la tête vers son bouton en s’insurgeant : « Putain, mais on t’a jamais appris à t’occuper d’un clito ou quoi ? » cria-t-elle. « C’est ça qu’il faut que tu lèches, pas le reste de la chatte. » D’habitude, j’aime bien commencer en titillant ma partenaire, avant d’aller m’occuper de son bouton, justement. Mais Ilhem n’était pas de cette humeur et je dus avancer mon planning. Elle laissa échapper ses premiers soupirs de plaisir lorsque je commençai à suçoter son bourgeon, à faire tournoyer ma langue dessus, à le mordiller un peu parfois. Entre deux gémissements, elle m’abreuvait d’insultes. Et petit à petit, je me mis à bander. « Ah putain, que c’est bon ! T’es un petit connard, mais tu sais bouffer une chatte ! » Je repris de plus belle mes assauts buccaux sur son intimité. Ses gémissements se faisaient de plus en plus fort, son dos s’arquait, ses jambes tremblaient, mais elle ne lâchait pas pour autant mes cheveux et continuer de m’écraser le visage contre son sexe. « Plus fort, salop, lèche-moi plus fort ! » J’appuyai davantage la langue contre son clitoris, le maltraitait presque ...