1. Florence et moi (7)


    Datte: 24/04/2018, Catégories: Hétéro

    ... dans ma frénésie buccale. La brune s’arc-bouta en me pressant toujours plus fort contre elle, poussa un long râle et se relâcha complètement. Quinze secondes plus tard, elle ronflait, l’orgasme et l’alcool ayant eu raison d’elle. Moi, je ne demandai pas mon reste et filai rapidement rejoindre Florence, qui dormait elle aussi à poings fermés. Le lendemain matin, à la fraîche, Ilhem vint me trouver, l’air visiblement gênée. « Faut qu’on parle » lâcha-t-elle en me tendant une cigarette et en m’attirant à l’arrière de la maison, loin des regards et oreilles indiscrets. dbwdiijs « Je suis vraiment désolée pour hier, j’étais complètement torchée, j’aurais jamais dû te traiter comme ça. » « C’est fait, c’est fait » répondis-je. « Tant que j’ai ta parole que Cécile saura rien, ça aura pas été pour rien. » « Non, ça t’inquiète pas, surtout que je suis plus vraiment innocente maintenant. Mais j’ai quand même dépassé les bornes, donc si je peux faire un truc pour me faire pardonner, hésite pas. » « Même sexuel ? » Elle m’adressa une moue chargée de reproches. « T’as pas l’impression que t’en as déjà assez fait ? » me rabroua-t-elle. « Mais ouais, même sexuel. » « Si par exemple je veux te prendre par derrière et jouir sur ton visage, c’est faisable ? » hasardai-je. Elle se renfrogna encore un peu plus. « Abuse pas trop non plus... L’un ou l’autre, ok, pas les deux. Je te laisse choisir. » Je pris un moment pour réfléchir, sans savoir ce qui était le plus tentant. Ilhem avait vraiment un ...
    ... cul d’enfer, la prendre par là aurait été une magnifique revanche. Mais je la connaissais assez pour savoir qu’elle considérait les faciales comme humiliantes et là encore ça aurait été une très belle façon de lui rendre la pareille. « Une pipe et faciale ? » proposai-je. Elle fit une moue dégoûtée, mais acquiesça quand même. « Va pour ça. » Elle m’attrapa par le bras. « Allez, on va dans ma chambre. » Nous traversâmes rapidement la maison pour nous retrouver à nouveau posés sur son lit, mais cette fois dans la position inverse : moi assis au bord du matelas, et elle à genoux avec ma bite dans la bouche. Elle avait libéré ses lourds seins de leur vêtement et me suçait avec lenteur et douceur. Moi je lui caressais doucement les cheveux, parfois je me penchai pour toucher à cette obsédante poitrine. Cela dura de très tendres et longues minutes, bien loin de la frénésie de la veille, avant que je ne me sente venir. Je me retirai alors de ses accueillantes lèvres et m’astiquais au-dessus du charmant visage qu’elle me tendait. Joueur, je fis en sorte de bien recouvrir ses joues et son front de ma laitance. « Bon, on est quitte ? » demanda-t-elle en s’essuyant. « On est quitte » confirmai-je en me rhabillant. Je l’embrassai tout de même avant de sortir, baiser qu’elle me rendit une fois encore avec une certaine tendresse. Une semaine plus tard, complètement bourrés, nous avons couché ensemble, mais je serai bien en peine de vous raconter cette histoire parce que tout ce dont je me ...