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C'est parti !
Datte: 26/04/2018, Catégories: f, h, hplusag, grossexe, grosseins, vacances, piscine, cérébral, nopéné, confession,
Résumé du précédent épisode :dans le dernier épisode je racontais comment je me suis assez rapidement marié à Pierre, un charmant jeune homme raide dingue de son boulot et le début de ma dépression. Tout excitée par notre départ et sachant que nous allons dans le sud, je choisis une petite robe légère, coupée aux genoux et fermée sur le devant avec dessous un soutien-gorge discret et aux pieds de petites chaussures style spartiate plate. Mon décolleté est raisonnable, il laisse malgré tout deviner ma forte poitrine sans pour autant rien dévoiler. Metz – Mimizan voila une belle épopée. Il est 4 heures du matin et nous voilà en route. Nous arriverons vers 18 ou 19 heures pour l’apéro. Le trajet est agréable et je fais un peu connaissance avec Étienne. Rapidement je m’assoupis mais je sens parfois son regard sur mes cuisses qui du fait de la légèreté de la robe, se découvrent assez peu, mais sans doute assez à son goût. Je m’en suis rendu compte mais après tout c’est mon beau père et je n’y vois pas de mal, si ce n’est que son regard me rend toute chose. Il essaye de deviner ma poitrine sous ma robe, mon ventre et mes cuisses. Cela me trouble. Je me souviens avoir légèrement ouvert les yeux et surpris son regard sur moi. Je vois une grosse bosse dans son pantalon. Et quand je dis une grosse bosse, je peux vous dire que c’est une grosse bosse, une énorme bosse. Aussitôt, je referme les yeux avant qu’il ne se rende compte que je ne dors plus. Mon esprit se met à vagabonder en ...
... repensant à certaines scènes de films ou certains dialogues que j’ai eu avec des hommes sur internet. Comme je vous l’ai dit je m’ennuyais et souvent je faisais des scénarios très cochons sur internet avec des hommes particulièrement doués. Parfois même pervers et vicieux et j’avoue y avoir pris goût. Leur perversité, leur langage cru, leurs mots, leurs insultes mettaient le feu en moi et j’ai imaginé à un moment qu’Étienne allait faire de même. Je mets un long moment à me calmer et me rendormir pour de bon. Des milliers d’images toutes plus salaces les unes que les autres défilent dans ma tête et je sens ma chatte s’humidifier. J’ai envie de me caresser. Nous arrivons sur Poitiers. Le passage d’Orléans n’a pas été simple pour éviter Paris. Étienne me réveille gentiment en posant sa main sur mon épaule. – Nous allons nous arrêter déjeuner. – Bonne idée. J’ai aussi très envie d’aller aux toilettes. – Oui je me doute. Et moi aussi. Ça fait longtemps que nous roulons, il est temps de faire une pause. Je sors de la voiture toute engourdie. Je m’étire les bras en l’air faisant ainsi relever et bien saillir ma poitrine. Étienne me regarde et a visiblement du mal à contenir un début d’érection. La situation me gène et m’amuse à la fois. Je suis fière d’être encore capable de faire bander un homme. Pierre s’occupe si peu et si mal de moi qu’à certains moments je me suis demandée si j’avais perdu de mon charme et si cette année et demie de mariage avait eu raison de ma beauté. Visiblement ...