C'est parti !
Datte: 26/04/2018,
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... non. Je me suis mise à penser que je pourrais peut-être jouer avec lui oubliant ce que j’avais entendu sur sa réputation de tombeur et de baiseur invétéré. Avant d’aller manger un morceau, je fais un détour par les toilettes. J’ai, comme toutes les femmes, emporté mon sac à main et je me refais une beauté. Pas de maquillage, mais j’insiste un peu plus sur le rouge à lèvre, je défais un bouton de ma robe laissant un peu plus la vue sur mon décolleté, hésite à en défaire un second mais la robe n’en comporte que peu et si j’en défais un de plus je vais me retrouver avec une vue imprenable sur mon soutien-gorge et je ne peux pas me le permettre. J’abandonne donc cette idée. Puis en me penchant devant le lavabo pour me laver les mains, je me rends compte que finalement on peut avoir une vue suggestive de ma grosse poitrine. Sans vraiment la voir on la devine lourde et ferme. Nous voilà donc à table. Nous échangeons quelques futilités. Il me parle de Pierre, me demande si tout va bien et si je ne m’ennuie pas trop. Si j’ai l’intention de travailler et je lui explique que Pierre s’y oppose et veut une femme au foyer qui s’occupe des enfants. Que d’ailleurs, à ce sujet là, on s’applique à en avoir un depuis prés d’un mois. Une fois le repas terminé nous remontons dans la voiture et repartons pour finir le périple. Encore quelques heures et nous y serons. Dans la voiture, nous continuons à discuter et rapidement je me sens en confiance. Étienne est vraiment charmant. Je regarde ...
... longuement sa carrure et ses mains de travailleur. De larges battoirs, avec des doigts rugueux et épais, des mains d’hommes. Dans mes pensées j’aimerais qu’elles parcourent mon corps, qu’elles le râpent, le griffent. Voilà que mon corps réagit à nouveau à ces pensées, ma chatte une fois de plus s’humidifie et mes tétons se dressent malgré moi sous ma robe. Je ne pense pas qu’il s’en soit rendu compte et je finis par lui dire que je vais faire une sieste. Il me dit d’en profiter pour me reposer et décompresser. Dans mon sommeil, je suis encore à la merci d’images pornographiques ou des femmes se font plus ou moins maltraiter par des hommes bien montés. Elles se font prendre debout, assises, couchées. Mon Dieu dans quel état je suis. C’est à force de regarder ce genre d’images sur le net. Je suis une grande malade. Il faut que je me calme. Le temps passe. Et nous voilà arrivés. Enfin ! J’en pouvais plus de cette voiture. Bien que très confortable, je devenais claustrophobe. La maison est magnifique, en bordure de Mimizan. On pourrait presque aller à la plage à pied. La ville n’est pas très loin, c’est vraiment superbe. À l’intérieur, un grand salon avec une grande cuisine américaine et un immense canapé avec une méridienne face au téléviseur. À l’étage, quatre chambres, salle de bain avec une douche et une baignoire à bulles. Je me dis qu’il a dû très bien gagner sa vie et que la mort de sa femme a dû lui permettre de finir la maison grâce sans doute aux assurances. Puis derrière, un ...