1. C'est parti !


    Datte: 26/04/2018, Catégories: f, h, hplusag, grossexe, grosseins, vacances, piscine, cérébral, nopéné, confession,

    ... corps. Puis je m’assoupis. Quand je me réveille, il fait encore chaud c’est la soif qui me sort de ma torpeur. Je me lève seins nus et le haut de mon maillot à la main me dirige dans le salon puis la cuisine pour boire un verre. Je bois tranquillement mais il me semble entendre des bruits bizarres venant de l’étage. Comme si quelqu’un parlait. Il n’est pas seul ? Je remets rapidement mon haut puis monte très doucement l’escalier qui heureusement ne fait pas de bruit. Je m’approche de la porte de sa chambre. Effectivement, il parle. – Oui ma belle, tu m’excites. Tu aimes ma grosse queue ? Je peux t’appeler Deborah ? Mon sang ne fait qu’un tour. Il fait quoi ? Qui veut-il appeler Deborah ? Un téléphone rose. Je suis sûre que c’est ça. Je m’approche encore pour mieux écouter ce qu’il dit. – Vas- y suce bien ma grosse tige, salope. – Je suis sûr que t’es aussi salope que ta putain de mère. Si tu savais ce que je lui ai mis le jour de ton mariage. Quoi ? Il a baisé ma mère le jour de mon mariage. La salope. Il a fallu qu’elle se le fasse. Je suis jalouse et hors de moi. – Elle a pris ma grosse queue bien au fond de sa chatte mais m’a refusé son cul. Mais toi je suis sûr que tu vas la prendre. Tu vas voir je vais te déchirer le fion grosse pute. ...
    ... – … – Humm… vas-y, prends-la ! Suce ! J’entends qu’il se masturbe. Je suis à nouveau dans un état incroyable. J’imagine déjà sa grosse queue dans sa main. – Vas-y plus vite, comme ça, oui… je vais tout te mettre dans la bouche. – Ahhh ! Je ne sais plus quoi faire. Je l’entends jouir. Rapidement, je redescends prés de la piscine comme si rien n’était mais dans tous mes états. Quand je pense qu’il a baisé ma mère… Décidemment, elle ne me lâchera jamais. Assise dans le transat, j’essaye d’imaginer la scène. Une main se glisse dans ma culotte, j’écarte les cuisses, les yeux fermés sans même me rendre compte qu’il pourrait débarquer d’un instant à l’autre. Une petite jouissance discrète a raison de moi. Quelques minutes plus tard il apparaît, souriant. – Deborah, vous avez pris des couleurs. Vous êtes toute rouge. – Oui j’ai chaud. – Il fait beau ici, n’est-ce pas ? Si on dînait en bord de plage ? – Très bonne idée. – On y va en maillot, on sera mieux. – Heu … d’accord. J’emmènerai un petit haut au cas où j’aurais froid. – Très bien. Son regard ne quitte pas mes seins. Les tétons rigides auraient pu transpercer le tissu. Mes seins encore gonflés par l’excitation, débordent outrageusement. Il veut qu’on sorte comme ça. Soit, allons-y ! À suivre… 
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