Le banquier
Datte: 27/04/2018,
Catégories:
f,
fh,
extracon,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
occasion,
... C’était plutôt l’insolite de la situation ! Pensez donc, en tenue d’Ève dans le bureau de son banquier ! Alors que seulement quelques baies vitrées la séparaient d’une rue piétonne très passante ! Surprise par son audace et son impudeur, je sentais aussi son trac de savoir comment tout cela allait se conclure… Elle entendit Monsieur Pic Aillon glisser un CD dans le lecteur de son PC. — Je suis prêt, lança-t-il à l’adresse de Marianne et je crois que j’ai l’accompagnement musical idéal pour votre présentation…— Ah déjà ? Eh bien pas moi. Laissez-moi encore une petite minute pour me préparer ! Eh oui, il lui fallait encore retrouver son bustier et la culotte qui lui était assortie au milieu de tous ses paquets. Elle faillit même, dans la précipitation, s’accroupir pour farfouiller dans ses sacs. Mais elle réalisa que ce mouvement risquait de dévoiler prématurément son anatomie au regard de monsieur Pic Aillon et donc réduire à néant tout son effet de surprise. Au prix de quelques déhanchements, elle réussit à se saisir des pièces de lingerie convoitées. Marianne enfila son bustier, accrochant une à une les nombreuses agrafes dans son dos. Elle ajusta rapidement le shorty sur ses hanches. Elle finit de s’habiller en passant son ensemble tailleur/pantalon. Un coup de brosse dans les cheveux et elle fut prête. Elle passa la tête en dehors du tableau en se dressant sur la pointe de ses escarpins. Lorsqu’elle découvrit son conseiller, à demi nu, confortablement installé dans son ...
... fauteuil, un frisson parcourut Marianne de la tête aux pieds. Monsieur Pic Aillon confirmait qu’il était bien un bel homme. Un ventre plat, des abdominaux fermes et un torse presque imberbe. Le type de physique qu’affectionnait Marianne ! Les pointes de ses seins se durcirent. Instinctivement, elle sut qu’elle avait envie de lui. Monsieur Pic Aillon lança la musique. À la première note, Marianne reconnut le célèbre titre de Joe Cocker dansNeuf semaines et demie. Un choix sûrement pas anodin de la part de celui-ci… Lui aussi aurait-il quelques idées lubriques derrière la tête ? Pour ma part, j’en étais maintenant quasi certaine ! J’allais encore m’en mettre plein les mirettes ! Miam miam ! Marianne prit sa respiration et s’élança hors de sa cachette. Elle fit quelques pas dans la diagonale du bureau, imitant les grands mannequins lors des défilés de haute couture. Elle se fixa devant monsieur Pic Aillon et déboutonna la veste de son tailleur en rythme avec la musique. Marianne se retourna, faisant dos à son conseiller. D’un geste des épaules, elle fit glisser la veste à terre. Tout en se déhanchant toujours en rythme avec la musique, elle s’attaqua au pantalon, ouvrant la fermeture Éclair du bout des doigts. Celui-ci glissa le long de ses cuisses pour finir tirebouchonné sur ses mollets. Un pied, puis l’autre, et le pantalon alla rejoindre la veste dans un coin du bureau. Elle se retourna et fit face à son banquier. En lingerie fine, juchée sur ses escarpins. Je le devinais en ...