1. Le banquier


    Datte: 27/04/2018, Catégories: f, fh, extracon, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, occasion,

    ... admiration devant les magnifiques courbes de sa cliente. Tout en lui souriant, elle le fixa du regard. Monsieur Pic Aillon, comme magnétisé, se leva et s’approcha de Marianne. Face à face, ils se regardèrent intensément. Il l’enlaça et s’empara des lèvres de Marianne pour un baiser langoureux. — Vous êtes vraiment une très belle femme, lui souffla-t-il à l’oreille. Les mains de Marianne couraient le long du dos de monsieur Pic Aillon. Ses doigts agiles se glissèrent sous la ceinture du boxer. Elle dégagea avec douceur une belle verge raide et épaisse de son carcan de coton. Le boxer finit par glisser à terre. Le nez collé à la poitrine de son amant, elle s’imprégnait des phéromones qu’il dégageait. D’une main, elle entreprit de masturber ce sexe en érection. De l’autre, elle lui massait lentement les testicules. Leurs respirations s’accéléraient. Monsieur Pic Aillon souleva Marianne et vint la poser sur le bord de son bureau. Ses doigts couraient sur son buste, effleurant avec légèreté le sillon qui se dessinait entre les deux seins. Il s’arrêta sur le nœud qui fermait le bustier de Marianne. Celui-ci se laissa dénouer sans offrir de résistance. Marianne croisa ses jambes autour de la taille de monsieur Pic Aillon et l’attira à elle. Lui, eh bien, il était affairé à délacer le laçage du bustier, tirant lentement et à tour de rôle, sur chacune des extrémités du lien en satin qui le fermait. Il défit entièrement la fine cordelette, puis glissa un doigt sous les bretelles qui ...
    ... glissèrent sur les épaules de Marianne. Délivrant ainsi la poitrine de la jeune femme de son écrin de dentelle. Il fit une pause, en admiration devant ces deux magnifiques lobes et leurs tétons proéminents qui se dressaient fièrement vers le ciel. Il se pencha sur Marianne et ses lèvres se refermèrent sur un téton dur comme de la pierre. Sa langue tournait avec délicatesse autour de ce mamelon. Marianne ferma les yeux pour mieux apprécier les caresses que lui prodiguait son amant. Elle lui passa les mains autour du cou, l’entraînant avec elle quand elle s’allongea sur le bureau. Le contact du bois froid sur sa peau la fit tressaillir. Elle reprit la verge de son amant en main et l’amena à son entrejambe. La mince bande de tissu de son shorty qui protégeait son intimité s’effaça sans difficulté tant sa petite chatte était détrempée de mouille. Elle se caressait la vulve du bout du gland d’un sexe qui ne demandait qu’à s’enfourner au plus profond de son intimité. Mais Marianne prenait énormément de plaisir à prolonger cette caresse. — Retirez-moi mon shorty, dit-elle dans un souffle. Monsieur Pic Aillon ne se fit pas prier pour s’exécuter et il fit rouler avec agilité le shorty de Marianne le long de ses cuisses. Il s’agenouilla, accompagnant le sous-vêtement jusqu’aux chevilles de Marianne, l’aidant à passer les pieds. Allongée sur le bureau, les reins cassés, talons posés au sol, les cuisses légèrement écartées, elle offrait sa chatte luisante de désir à monsieur Pic Aillon. ...
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