NASSIMA ET SES FILLES Deuxième partie NAWAL
Datte: 27/04/2018,
Catégories:
Anal
Humour,
... heureuse et au cours de laquelle, j’étais devenue une vraie femme ; sa femme ! Jusqu’au moment de cette maudite grossesse que maman découvrit, parce que mon amant ne savait pas quoi faire. Il était perdu et paniquait à l’idée du scandale. J’ai fini par dire à maman que j’étais enceinte tout en refusant de lui dire de qui. Elle me fit avorter et puis après m’avoir traité de tous les noms de putes qui pouvaient lui passer par la tête, elle m’ordonna de lui dire qui lui avait fait cela. Elle m’insulta tellement pour m’humilier que j’ai fini par lui dire fièrement que j’étais la maîtresse de son mari. Comme une furie, elle m’a frappée et frappée encore jusqu’à ce qu’elle en tombe par terre, harassée. Et puis la suite tu la connais : elle a chassé son mari et m’a chassée de sa vie en m’envoyant vivre chez ma grand-mère. Elle ne m’a jamais pardonné l’affaire et moi de même, je lui en veux encore plus. Nous sommes devenues des ennemies. J’ai décidé depuis ce jour que je lui volerai tous ses amoureux. C’est ce que j’ai fait jusqu’à maintenant. Tu es le premier qui ait pu m’échapper. Son mari actuel, ne compte pas parce qu’elle ne l’aime pas et qu’il est vieux. Elle ne baisera pas avec lui pour prendre son pied. Si elle le fait c’est seulement pour lui faire plaisir.« Mais toi, malgré tout je te veux. Je sais maintenant qu’elle a été heureuse avec toi. Que tu l’as faite grimper aux rideaux ! J’en veux ma part ! Soit ici tout de suite ; soit tout à l’heure chez toi ! Soit à n’importe ...
... quel autre moment ! Tu ne peux pas refuser ! Je ne te lâcherai pas ! Même si tu me fais chasser par le cerbère qui est dans le bureau à côté et qui est certainement entrain de nous épier, je reviendrais et reviendrais encore jusqu’à ce que j’atteigne mon objectif : jouir avec toi, comme tu as fait jouir maman ! »Pendant tout son récit, je me disais qu’elle n’était pas normale. Qu’elle était folle. En vouloir à ce point à sa mère relevait de la psychanalyse, si ce n’est de la psychiatrie. Chercher à tout prix à se substituer à sa maman dans ses moments de plaisir sexuel, c’est soit une espèce de complexe d’oedipe non encore réglé, soit de la perversité totale. La deuxième partie de l’équation me semblait plus juste. Cette fille était totalement perverse. Sa seule manière de prendre son pied, c’est de faire l’amour avec les amants de sa maman. Je me posais la question de ce que je devais faire.La fille était superbe et bandante. Et vraiment j’avais envie d’elle. D’un autre côté, je me disais que Nassima ne méritait pas cela ; que je la remplace par sa fille, devenue son ennemie. Il y avait bien la solution de la faire mettre à la porte par Soraya qui, bien entendu, surveillait tout ce qui se passait. Mais cela ne servirait à rien ; elle remettrait ça d’une autre façon. Je suis sûr qu’elle ferait le siège de chez moi, jusqu’à ce que je la fasse monter. La solution, c’est elle qui a fini par me la donner : elle enleva son string, me montrant au passage sa superbe chatte velue, et ...